L’Iran & l’Arménie signent un accord de partenariat stratégique : Civilnet
L’Arménie et l’Iran signent un accord de partenariat stratégique
Erevan et Téhéran travaillent sur un accord de partenariat stratégique global, a révélé l’ambassadeur d’Iran en Arménie, Mehdi Sobhani, lors d’une conférence de presse tenue jeudi à l’ambassade.
Il a noté que l’Iran ne voit pas d’inconvénient au partenariat simultané de l’Arménie avec les États-Unis ou à la présence de la mission de surveillance de l’Union européenne dans le pays.
L’ambassadeur a souligné le soutien indéfectible de l’Iran à l’intégrité territoriale de l’Arménie et son opposition à tout accord de type corridor qui pourrait compromettre la souveraineté nationale de l’Arménie. Continuer la lecture .
PHOTO DE LA SEMAINE Les Jeux pan-arméniens d’hiver ont débuté la semaine dernière à Djermouk, marquant le premier événement majeur dans la station balnéaire depuis l’attaque de l’Azerbaïdjan en septembre 2022 et l’occupation des collines voisines. Pour la première fois, les équipes d’Artsakh n’y participent pas.
AFFAIRES : LA MINE DE ZANGUEZOUR CONSERVE SA PLACE DE PREMIER CONTRIBUABLE D’ARMÉNIE(vidéo de 6 minutes)
Plusieurs centaines de mineurs ont entamé la semaine dernière une grève pour réclamer une augmentation de salaire de 50% et de meilleures conditions de travail. Jusqu’à présent, les parties n’ont pas réussi à trouver un accord.
LE RÉCIT D’UN JOURNALISTE SUR UN DÉTOUR INATTENDU EN ARMÉNIE
L’homme d’affaires et homme politique arménien Gagik Tsarukyan est déterminé à construire la plus grande statue du monde de Jésus-Christ — et de nombreux Arméniens, premier pays au monde à adopter le christianisme, s’y opposent.
Cet été, j’ai été chargé de réaliser un reportage sur cette histoire quelques jours seulement après l’apparition des premières images de la statue sur son chantier de construction.
Ainsi, un jour d’août particulièrement chaud, je me suis rendu, avec un collègue journaliste et une caméraman, au village de Hatis pour voir la statue et sonder l’opinion locale.
Je ne savais pas que je reviendrais avec une histoire complètement différente. Continuer à lire .
RABIZ ET LA MÉMOIRE MUSICALE DES ARMÉNIENS
Par Brigitta Davidjants
Il y a une vingtaine d’années, j’ai fait quelques études au Conservatoire d’Erevan. En tant que jeune musicologue, j’ai dû rédiger un mémoire de recherche sur la musique arménienne.
J’ai suggéré le rabiz – un genre musical qui, à l’époque, était omniprésent : diffusé dans les voitures devant l’opéra, dans les cafés de rue et sur les premiers téléphones portables.
Le rabiz était également un élément incontournable des fêtes de la diaspora estonienne, où il accompagnait des danses que je n’ai malheureusement jamais apprises. Cependant, ma suggestion a été immédiatement rejetée.
« Vous voyez, cette musique est celle des gens ordinaires », m’a gentiment expliqué un professeur, m’orientant vers l’analyse des chansons solo de Komitas.
Mes amis arméniens, musicologues avertis, n’ont pas non plus compris ma curiosité pour le rabiz, préférant plutôt discuter des harmonies de Stevie Wonder. Continuer la lecture .
