Le président Trump gèle l’aide américaine étrangère pour examiner leur conformité aux intérêts des Etats-Unis

Gel de l’aide étrangère américaine : impact sur l’Arménie et incertitude mondiale

Le 24 janvier, le président américain Donald Trump a signé un décret gelant la quasi-totalité de l’aide étrangère américaine pendant 90 jours. L’objectif affiché de ce décret est d’évaluer l’efficacité de ces programmes et de s’assurer qu’ils sont conformes à la politique étrangère américaine. Cette décision radicale a toutefois déjà eu des conséquences importantes, notamment en Arménie et pour les Arméniens déplacés de force d’Artsakh.

Le gel fait suite à une directive du secrétaire d’État Marco Rubio, qui a informé les ambassades américaines du monde entier qu’aucune aide étrangère ne devrait être versée si elle n’est pas pleinement conforme à la politique étrangère du président. Le décret de Trump affirme que les programmes d’aide actuels ne sont « pas alignés sur les intérêts américains » et, dans certains cas, même « contraires aux valeurs américaines ». Il soutient en outre que de tels programmes peuvent « déstabiliser la paix mondiale » en promouvant des idées qui remettent en cause les relations stables au sein des nations et entre elles. Lire la suite…

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L’Arménie participe à la commémoration du génocide en Belgique

Le 24 janvier, l’ambassadeur d’Arménie, Tigran Balayan, a participé à la cérémonie solennelle de commémoration à la Chambre des représentants belge, en mémoire des victimes du génocide. Cet événement fait suite à la résolution adoptée par la Chambre en décembre 2020, qui a institué une journée nationale de commémoration des génocides officiellement reconnus.

La Belgique reconnaît officiellement cinq génocides : le génocide arménien, l’Holocauste, le génocide au Cambodge, le massacre de Srebrenica et le génocide rwandais. Lire la suite…

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Des Arméniens détenus à Bakou soumis à des méthodes psychotropes interdites pour obtenir des témoignages

Le Premier ministre Nikol Pashinyan a démenti les critiques suggérant que le gouvernement « ne fait rien » pour obtenir la libération et le retour des anciens dirigeants politiques et militaires de l’Artsakh détenus à Bakou. Il a déclaré :

« Je ne considère personne là-bas comme mon adversaire. Nous comprenons que ce qui se passe est non seulement très préoccupant, mais qu’il est également utilisé – et continuera d’être utilisé – pour provoquer de nouvelles escalades dans la région. »

Il a également révélé : « Nous disposons de renseignements indiquant que des substances psychotropes interdites sont utilisées contre ces individus pour obtenir des témoignages ou des déclarations destinées à provoquer une escalade régionale. Nous sommes profondément préoccupés par ce processus. » Lire la suite…

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