| WASHINGTON, DC – Dans son discours prononcé à l’ouverture du sommet international sur la liberté religieuse au Capitole, le directeur exécutif du Comité national arménien d’Amérique (ANCA) a appelé les États-Unis à prendre le leadership sur la survie de l’Artsakh, la sécurité de l’Arménie et l’avenir des communautés arméniennes de la Syrie et du Liban au quartier arménien de Jérusalem.
« Une bonne politique commence par une clarté morale », a déclaré Hamparian. « Les États-Unis doivent prendre des mesures décisives, et pas seulement émettre des déclarations exprimant leur inquiétude. »
La table ronde axée sur l’Arménie, modérée par Michael Rubin de l’American Enterprise Institute, a réuni Aram Hamparian, directeur exécutif du Comité national arménien d’Amérique (ANCA) ; Robert Avetisyan, ancien représentant du Haut-Karabakh aux États-Unis ; le père Garegin Hambardzumyan, (Karékine Hampartsoumian)directeur du département œcuménique de l’Église apostolique arménienne du Saint-Siège d’Etchmiadzine ; la défenseure des droits de l’homme Christine Arakelian ; et le représentant Chris Smith (R-NJ), une voix de premier plan au Congrès sur la liberté religieuse et la justice pour le génocide arménien (1915) et le génocide d’Artsakh (2023).
Les intervenants ont souligné que l’agression de l’Azerbaïdjan en 2023 et le déplacement forcé de 150 000 Arméniens d’Artsakh ont été aidés et encouragés par les décideurs politiques américains. Ils ont appelé le Congrès et l’administration Trump à mettre en œuvre des sanctions ciblées, à exiger le retour des prisonniers de guerre arméniens et à assurer le retour sûr et digne des Arméniens déplacés d’Artsakh. |
