Tout commence par une rencontre à New York entre Yitzhak Rabin, alors Premier ministre israélien, et Heydar Aliyev, alors président de l’Azerbaïdjan.
les deux dirigeants se parlent , sans intermédiaire ni conseiller, de ce que chaque pays attend de l’autre : Israël a besoin de pétrole stable et fiable, l’Azerbaïdjan veut les systèmes de défense militaire d’Israël. Depuis l’alliance entre Israël et l’Azerbaïdjan est l’une des plus stables et des plus fiables.
Israël est le plus proche allié des États-Unis au Moyen-Orient et les États-Unis sont le plus proche ami d’Israël dans le monde.
La principale différence entre l’Azerbaïdjan et les autres alliés d’Israël – en particulier les autres alliés occidentaux d’Israël – est la façon dont l’Azerbaïdjan qualifie le conflit israélo-palestinien.
Presque tous les pays occidentaux sont affectés dans leurs relations avec Israël, même si Israël répond (de façon disproportionnée) à une action terroriste du Hamas. L’année dernière, la Grande-Bretagne, la France et même les États-Unis ont fait pression sur Israël en raison de la « guerre de Gaza, » un conflit qui ,après l’attaque horrible du Hamas en Israel (1200 victimes), a fait 64 000 (chiffres ONU) victimes palestiniennes + 10 000 (estimés) sous les décombres…
l’Azerbaïdjan est le plus grand importateur d’armes d’Israël et, près de 70 % des importations militaires de l’Azerbaïdjan provenaient d’Israël. En septembre 2024, les deux pays ont signé un autre contrat d’armement, ce qui a permis aux entreprises israéliennes de haute technologie de poursuivre leurs activités et de stimuler l’économie israélienne.
sources : Joseph Epstein, directeur de recherche à l’Endowment for Middle East Truth (Fondation pour la vérité sur le Moyen-Orient). JP D.
photo : D.R.