Personne ne connaît le nombre exact de fidèles de ces ordres mystiques d’inspiration soufie, les tariqas (pour « voie menant à Dieu »), comme on les appelle, organisés autour de la figure charismatique de cheikhs auxquels les membres doivent obéissance.
Mais tout le monde sait en Turquie qu’ils constituent un maillage considérable de la société civile, jusque dans les cercles les plus restreints du pouvoir.
Turgut Özal (1927-1993), le président qui ouvre la Turquie à l’économie libérale entre 1989 et 1993, a été membre, un temps, de la tariqa Iskenderpasha. (Turgut Ozal a donné une conférence à Duke University en Caroline du Nord aux USA.
sources : Le Monde , JP D.
photo : Armineh JOHANNES copyright : arminehjo@hotmail.com
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