« la Turquie va récolter les fruits de sa diplomatie de normalisation des liens avec les pays de la région, notamment avec les Emirats arabes unis, qui seront parmi les premiers à commencer à travailler en Syrie.
Doha, l’allié d’Ankara, qui a participé à la construction avec les Turcs des villes préfabriquées dans les zones réservées à l’opposition, pourrait également être à l’avant-garde,
Surtout que le Qatar a recommencé à travailler plus étroitement avec la rébellion en 2023, en organisant des réunions sur le sol turc ».
source : chaîne Telegram d'Anton Mardasov, chercheur associé au Middle East Institute de Washingto
JP D.
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