La Sorbonne censure lors d’une exposition, sans raison, Sylvain Tesson.
Lire Sylvain Tesson, merveilleux écrivain voyageur, voire baroudeur, c’est un plaisir de l’esprit, tant l’aventure extérieure de l’homme des bois et des montagnes jusqu’aux confins de la Sibérie, du Caucase qu’il raconte si bien rejoint l’aventure intérieure de l’humaniste de grande culture qu’il est aussi.
Merci Monsieur Tesson, les pseudos intellectuels de l’université wokiste , les « âne -iversitaires » trahissent la mission multiséculaire d’une institution universitaire digne de ce nom.
source : B.F.
photo : D.R.
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