Les BRICS (37,3% du PiB mondial contre 14,5% pour l’U.E.) : Civilnet
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Les États-Unis confirment que l'accord nucléaire avec l'Arménie est « à l'étude »
Les États-Unis ont confirmé qu’ils étudiaient une demande de l’Arménie visant à conclure un accord qui permettrait à Washington de transférer une technologie nucléaire civile à Erevan.
Cela pourrait ouvrir la voie aux États-Unis pour concevoir et construire une nouvelle centrale nucléaire en Arménie pour remplacer l'ancienne centrale nucléaire de l'ère soviétique située dans la ville de Metsamor.
« Le gouvernement américain ne communique pas les détails du processus de négociation, mais nous pouvons affirmer que le département d’État accorde à la demande de l’Arménie d’un accord 123 l’attention et la considération qui lui sont dues », a déclaré mardi un porte-parole du département d’État dans des commentaires écrits adressés à CivilNet. Continuer la lecture .
L'AZERBAÏDJAN DEMANDE D'ADHÉRER AUX BRICS, LE BLOC ÉCONOMIQUE DIRIGE PAR LA RUSSIE ET LA CHINE
Pendant plus d’une décennie, le bloc ne comprenait que le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, formant l’acronyme BRICS.
L’Égypte, l’Éthiopie, l’Iran et les Émirats arabes unis ont rejoint le groupe plus tôt cette année, et l’Arabie saoudite a déclaré qu’elle envisageait de faire de même.
La tentative de l'Azerbaïdjan de rejoindre les BRICS — un bloc représentant environ 37,3 % du PIB mondial, contre 14,5 % pour l'Union européenne — semble être une nouvelle démarche visant à renforcer les liens avec le Sud global, d'autant plus que le soutien militaire et diplomatique occidental à l'Arménie continue de croître.
« Le monde turc – la Turquie, les pays d'Asie centrale – constitue la principale orientation de la politique étrangère de l'Azerbaïdjan », a déclaré à Civilnet Benyamin Poghosyan, chercheur principal à l'APRI Arménie, commentant cette évolution.
« L’Azerbaïdjan souhaite se rapprocher du Sud global, et [la candidature des BRICS] souligne que l’Azerbaïdjan ne fait pas partie de l’ordre occidental dans le monde multipolaire émergent. »
La décision de Bakou fait suite à la visite de deux jours du président russe Vladimir Poutine en Azerbaïdjan, au cours de laquelle le président Aliyev a annoncé un investissement de 120 millions de dollars pour stimuler le transport de marchandises entre les deux pays. Continuer la lecture .
PHOTO DE LA SEMAINE
Vardges Gevorgyan, 10 ans, est devenu le mois dernier le plus jeune Arménien à avoir atteint le sommet du mont Ararat, célébrant son anniversaire au sommet. Lire la suite .
À LA FRONTIÈRE AVEC L'IRAN, UN PRODUCTEUR EST LE PIONNIER DE LA PRODUCTION D'OLIVES EN ARMÉNIE(vidéo de 3 minutes)
UNE VIE D'EXIL À ISTANBUL
Hagop Demirdjian, également connu sous le nom de Hagop Mntsouri, a vécu une longue vie semblable aux longues promenades qu'il aimait, vivant jusqu'en 1978.
Il n’a jamais quitté Istanbul, la ville qu’il considérait comme un lieu d’exil.
Il s'est remarié, a eu d'autres enfants et a travaillé comme vendeur d'aliments pour animaux, boulanger et commis. Il a toujours écrit.
Grâce à ses livres et à ses articles dans les journaux, il est devenu l’un des noms les plus importants de la littérature arménienne du XXe siècle, décrivant avec vivacité les souvenirs de son pays perdu et de son peuple.
Pour les Arméniens restés en Turquie, il n’était pas possible de parler du passé, du génocide et des graves traumatismes vécus.
Il a pleuré son passé perdu, son pays perdu, sa famille détruite, son paradis perdu en écrivant sur les lieux où ils avaient vécu et sur les habitants de sa ville natale tout au long de sa vie.
Il n'a raconté ce qui est arrivé à sa famille que vers la fin de sa vie. Continuer la lecture .
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