La famille Atamian annonce un huitième engagement de 100 000 $ en faveur des communautés des villages frontaliers
Deux nouvelles familles emménagent dans de nouvelles maisons à Nerkin Karmir Aghbyur
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Le 23 juin, Sarkis S. et sa famille, réfugiés de la région de Martakert en Artsakh, ont emménagé dans leur nouvelle maison permanente reconstruite dans la communauté frontalière de Nerkin Karmir Aghbyur. Karine S. et ses deux jeunes fils ont également emménagé dans une maison entièrement reconstruite dans le même village. Jean-Marie, Lori, Narine et Stepan Atamian ont rendu cela possible grâce à leur soutien généreux et continu à cette importante communauté frontalière.
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« Avec l'achèvement de ces deux maisons pour familles à Nerkin Karmir Aghbyur, je suis heureux d'annoncer un engagement supplémentaire de 100 000 $ pour la reconstruction de nouvelles maisons dans les communautés frontalières de la région de Tavush. Je suis fier de l'impact que ma famille et moi avons eu dans ces communautés et j'attends avec impatience la prochaine phase de l'investissement de notre famille.
-Jean-Marie Atamian
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À partir de 2013, la famille de Jean-Marie Atamian, par l'intermédiaire de la Fondation Paros, a lancé ce qui est aujourd'hui devenu un vaste programme d'investissement pour reconstruire les infrastructures et le parc de logements de cet important village frontalier avec une population croissante de plus de 1 100 habitants situé dans le Zone de Berd de la région arménienne de Tavush. Au cours des décennies précédentes, ce village stratégique avait souffert d’un manque d’investissements, créant des conditions de vie difficiles.
La première phase du plan de réaménagement de la famille Atamian consistait à financer la reconstruction complète de l'infrastructure du village, notamment sa grande école secondaire, son jardin d'enfants agrandi, son centre médical, son bâtiment des services d'urgence et son système de distribution d'eau. Des projets agroalimentaires et d’élevage ont également été mis en œuvre au cours de cette période initiale.
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À gauche : Sarkis S. et sa famille dans leur nouvelle maison À droite : Karine S. et ses deux enfants dans leur nouvelle maison
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La famille Atamian s'est ensuite concentrée sur la reconstruction à grande échelle de maisons gravement endommagées afin de fournir des logements sûrs et de qualité aux familles méritantes. A ce jour, la famille Atamian a financé la reconstruction de 19 maisons. Plus récemment, le village a célébré l'ouverture de deux maisons entièrement reconstruites. L'une est destinée à une mère de deux jeunes garçons qui ont perdu leur père, et l'autre maison est destinée à la famille de Sarkis S., arrivée au village avec sa femme et leurs quatre jeunes enfants après avoir perdu leur maison en Artsakh.
Sarkis (qui est garde-frontière) est un travailleur acharné désireux de commencer une nouvelle vie dans le village avec sa famille grandissante. La grande maison de deux étages a été dotée de nouveaux meubles, d'appareils de cuisine et d'une salle de bains. Le coût du projet était de 33 000 $. Sarkis S. et sa famille sont la 8e famille d'Artsakh réinstallée dans la communauté de Nerkin Karmir Aghbyur depuis la guerre de 2020 et la 33e famille d'Artsakh à bénéficier de l'effort de réinstallation de la Fondation Paros.
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« En plus d'offrir aux familles des conditions de vie considérablement améliorées, ces projets continuent de créer des avantages matériels pour l'économie locale en créant des emplois à long terme dans la construction et en favorisant l'achat de meubles et de matériaux fabriqués en Arménie. Ce modèle de parrainage villageois très réussi peut être reproduit dans d’autres communautés frontalières par d’autres familles et organisations de la diaspora.
-Peter Abajian, directeur exécutif
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Avoir un impact
La Fondation Paros a été lancée en 2006 et a mis en œuvre des projets d'une valeur de plus de 16 millions de dollars en Arménie grâce à son modèle unique de philanthropie et de partenariat communautaire. Ces projets sont répartis dans tout le pays, la majorité des travaux étant concentrés à Gyumri et dans la région de Tavush, le long de la frontière avec l'Azerbaïdjan. Toutes les dépenses administratives sont prises en charge, permettant d'allouer l'intégralité des contributions des donateurs aux projets.
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