En Turquie les réfugiés syriens souffrent le martyre

0
(0)
image_pdfimage_print

A Gaziantep (Aïntap pour les Arméniens), au Sud de la Turquie, à  cinquante kilomètres de la frontière syrienne, la saison de l’ail et des pistaches n’a pas commencé.

La récolte du coton est en septembre.

C'est l'époque du séchage des poivrons, des piments et des aubergines étendus à perte de vue sur des terres de couleurs vives, jaune, rouge et noir, et de collines sous un ciel de feu.

Sur les hauteurs de la petite ville périphérique d’Oguzeli, une dizaine de Syriens souffrent sur la récolte du jour.

Certains ont des gants, un couteau pour simple outil et des montagnes de cageots à remplir avant l'arrivée de camions vétustes, vestiges d’une prospérité éphémère.

Un monde de labeur, de sueur , "d'esclavage, entièrement livré à l’exploitation et à la misère.

 

sources : N. Bourcier, JP D.

photo : Pixabay

image_pdfimage_print

Vous avez trouvé ce post utile ?

Cliquez sur une étoile pour l'évaluer !

Note moyenne 0 / 5. Nombre de votes : 0

Soyez le premier à évaluer cet article.

Vous avez trouvé cet article utile ?

Suivez-nous sur les réseaux sociaux !

Suivez-nous !