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Les Premiers ministres arménien et lituanien, Nikol Pashinyan et Ingrida Šimonytė, se rencontrent à Erevan |
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Le Premier ministre Nikol Pashinyan a accueilli à Erevan la Première ministre lituanienne Ingrida Šimonytė, en visite de travail en Arménie.
Les Premiers ministres des deux pays se sont d’abord entretenus en privé, puis les négociations se sont poursuivies sous une forme élargie.
Les interlocuteurs ont discuté de questions liées au développement et à l’expansion des relations dans divers domaines. En particulier, les parties ont souligné l’importance d’approfondir la coopération commerciale et économique, de promouvoir les relations d’affaires et de mettre en œuvre des programmes d’investissement conjoints. Le Premier ministre Pashinyan a souligné le rôle de la Lituanie dans la promotion de la coopération entre l’Arménie et l’UE. |
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La solidarité de toute la famille francophone |
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La Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, était en visite officielle en Arménie le 18 octobre pour exprimer son soutien et celui des pays membres aux réfugiés d'Artsakh et à la crise que traverse le pays.
C'était la quatrième visite en Arménie de Louise Mushikiwabo depuis son élection à la tête de l'organisation internationale il y a cinq ans, ici même à Erevan à l'occasion du Sommet de la Francophonie. Elle était accompagnée de la vice-présidente de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie Amelia Lakrafi, du président de l'Agence universitaire de la Francophonie, Sorin Cîmpeanu, et de Vijayen Valaydon, président du Groupe des ambassadeurs francophones. Christian Ter-Stepanian, ambassadeur extraordinaire et plenipotentiaire d'Arménie accrédité auprès de l'Organisation internationale de la Francophonie et de l'UNESCO était aussi présent.
Au cours d'une conférence de presse donnée au ministère des Affaires étrangères à l'issue de son rendez-vous de travail avec le ministre Ararat Mirzoyan, la Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a tout d'abord tenu à exprimer l'émotion et la solidarité « de toute la famille francophone aux autorités et au peuple arménien face à la crise humanitaire que subit leur pays ».
Exprimant toute « l'importance et la valeur que l'OIF accordait à l'appartenance de l'Arménie à son organisation », elle a déclaré suivre la situation avec inquiétude mais également fait part de « l'admiration » de ses collègues francophones et transmis « les félicitations de notre organisation aux autorités arméniennes pour l'accueil réservé aux réfugiés du Haut-Karabagh, rapide et digne dans une situation difficile. […] Il est primordial d'accorder toute l'importance qui se doit à la qualité de la dignité humaine dans de telles situations ».
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La médiatrice arménienne affirme qu’il existe des preuves de crimes de guerre azéris au Karabakh |
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La médiatrice arménienne des droits de l’homme a accusé jeudi les troupes azerbaïdjanaises d’avoir commis des crimes de guerre lors de l’offensive menée le mois dernier dans le Haut-Karabakh, qui a entraîné l’exode massif de la population d’origine arménienne.
« De nombreux corps, y compris de civils, transportés du Haut-Karabakh vers l’Arménie, portent des traces de torture et/ou de mutilation », a déclaré Anahit Manasian aux journalistes. « Cela montre que ces personnes ont été soumises au type de traitement que j’ai mentionné. Il y avait des enfants et des femmes parmi eux ».
Anahit Manasian n’a pas précisé le nombre de victimes des crimes de guerre présumés, indiquant que son bureau poursuivait son « travail d’enquête » sur l’assaut des 19 et 20 septembre qui a permis à Bakou de reprendre le contrôle total du Karabakh.
Selon les responsables du Karabakh, l’offensive azerbaïdjanaise a fait plus de 200 morts parmi les soldats du Karabakh et deux douzaines de civils locaux. Plus de 100 000 Arméniens de souche vivaient dans cette région avant l’exode.
Mme Manasian a déclaré que son bureau avait rédigé un « rapport préliminaire » contenant les prétendues preuves d’atrocités qu’il avait recueillies jusqu’à présent. Le rapport a été soumis à la Cour internationale de justice (CIJ), a ajouté le défenseur des droits de l’homme de l’État.
Le 28 septembre, le gouvernement arménien a fait appel à la Cour des Nations Unies pour qu’elle ordonne à Bakou de garantir le retour rapide et en toute sécurité des Arméniens du Karabakh qui se sont réfugiés en Arménie. Il demande également à la partie azerbaïdjanaise de retirer le personnel militaire et de sécurité des installations civiles du Karabakh, de permettre à l’ONU et à d’autres organisations internationales d’accéder à la région dépeuplée et de protéger ses monuments religieux et culturels.
Bakou a nié avoir pris pour cible des civils du Karabakh au cours de l’opération militaire de deux jours ou les avoir forcés à fuir leur patrie les jours suivants. Il s’est engagé à protéger les droits des résidents locaux désireux de vivre sous le régime azerbaïdjanais.. |
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Le Parlement autrichien a adopté à l’unanimité une résolution condamnant le nettoyage ethnique de la population du Haut-Karabagh par l’Azerbaïdjan |
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Jeudi 19 octobre, le Parlement autrichien a adopté à l’unanimité une résolution condamnant le nettoyage ethnique mené par l’Azerbaïdjan contre la population arménienne du Haut-Karabakh. C’est ce qu’a rapporté l’ambassade d’Arménie en Autriche.
"L’ambassadeur d’Arménie en Autriche, Armen Papikyan, a participé à la session du Conseil national en tant qu’invité d’honneur.
De nombreux députés ont prononcé des discours condamnant l’Azerbaïdjan, appelant le gouvernement fédéral autrichien à soutenir l’Arménie et les personnes déplacées de force du Haut-Karabagh.
La résolution, soutenue par les cinq factions du Parlement, appelle le gouvernement fédéral à « condamner dans tous les forums internationaux et discussions bilatérales les actions militaires de l’Azerbaïdjan qui ont conduit à l’exode massif de plus de 100 000 Arméniens de souche du Haut-Karabakh ».
La résolution souligne l’importance de la protection des droits des Arméniens de souche restés au Haut-Karabakh et de ceux qui souhaitent retourner au Haut-Karabakh, ainsi que de la mise en œuvre des décisions de la Cour internationale de Justice concernant la libre circulation à travers le corridor de Latchine.
Le gouvernement fédéral autrichien est également appelé à s’engager à garantir l’accès libre et sans entrave à long terme des organisations humanitaires internationales au Haut-Karabakh, ainsi qu’à assurer la protection complète des biens culturels et des églises du Haut-Karabakh.
La résolution est également favorable à l’octroi des fonds nécessaires à l’Arménie, en tant que pays prioritaire de la coopération autrichienne au développement, pour poursuivre la stabilisation de la situation humanitaire" indique le message. Source Armtimes.
Krikor Amirzayan
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Université française en Arménie |
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Dans le cadre de sa visite en Arménie à l’occasion de la publication de son livre ‘ La mort n’existe pas’ en arménien, l’Ambassadeur de France en Arménie (2002-2006), Henry Cuny est venue à la rencontre des étudiants de l’UFAR. Cette rencontre chaleureuse et émouvante a été l’occasion pour lui de revenir sur la fondation de l’UFAR dont il a été l’un des principaux artisans.Merci Monsieur l’Ambassadeur pour votre fidélité à l’UFAR et à l’Arménie. |
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