29 septembre 2023 à Paris : « Nous étions frères »
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29 septembre 2023 à Paris : la projection en avant-première de « Nous étions frères » de Hakob Melkonyan.
17H30 (accueil) à 22H30, à la Maison des Travaux publics, 3 rue de Berri, dans le 8ème.
Déroulement :
- 17H30 Accueil
- 18 heures – 19H30 : l’Arménie et le Caucase : union et divisions et présentation du film de Hakob Melkonyan « Nous étions frères »
- 19H30 – 22 heures : projection suivie d’un échange avec le réalisateur et l’équipe du film
- 22 heures : musique avec Arsen Petrosyan, maître de duduk, et chant avec Hengameh Bretschi
- 22H30 – cocktail
= 15 € de participation aux frais payable sur place
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En 2017, Hakob Melkonyan a reçu par la poste un document extraordinaire : le carnet de guerre de son grand-père. Mobilisé en 1941 dans l’armée soviétique, celui-ci avait tenu son journal pendant deux ans. Bouleversé par le récit de cette aventure, Hakob décide de partir sur les traces de son grand- père. Il en réalise un véritable road-movie à travers quatre pays, l’Arménie, la Géorgie, la Russie et l’Ukraine, et confronte l’histoire de la Seconde Guerre mondiale avec la réalité d’aujourd’hui.
Le film, sélectionné à Séoul en août de cette année, sera projeté en avant-première dans la très belle salle de la Maison des Travaux Publics, située 3 rue de Berri, à l’angle des Champs Elysées…
Hakob, théologien de formation, et son équipe feront le déplacement à Paris pour nous parler du film, et nous avons invité également Arsen Petrosyan, maître de Duduk et sa harpiste, Asthhik Snetsunts, qui pourront jouer quelques extraits de leur dernier album dont tu trouveras le clip sur le YouTube : https://youtu.be/Xwj6k2KFnu8
l’Ambassadrice d'Arménie en France a été informée pour qu’elle nous honore de sa participation et soutienne la soirée, ce qui nous permettrait d’accueillir Hakob et son équipe, Arsen et sa musicienne à Paris, et de réussir cette séance très importante au lendemain de la fête de l’indépendance de l’Arménie.
Contact a été pris avec la CCIA (la chambre de commerce et d’industrie à Paris), et les associations arméniennes et de l’Artzakh à Paris, et envoyer l’information à Arménopole… Aurais-tu des contacts à me communiquer ?
ASCPE est l'organisateur de la soirée, et son Cercle cinéphile « Open World, Regards croisés » animé par Claude Fisher-Herzog avec Philippe Herzog…
ASCPE
Claude Fischer Herzog
Directrice des Entretiens Européens & Eurafricains
Animatrice d’Open World, Regards croisésNotre soutien à l’Arménie et à l’Artsakh
ASCPE et son Cercle cinéphile « Open World, Regards croisés » manifestent leur
soutien et leur solidarité à l’Arménie, de nouveau attaquée par l’Azerbaïdjan
depuis deux ans dans l’indifférence alors que les crimes génocidaires se
perpétuent à l’encontre de son peuple. Après le génocide des Arméniens dans
l’Empire Ottoman qui a fait 1,5 million de victimes sur une population de 2,2
millions en 1915, les attaques de l’Azerbaïdjan pour récupérer l’Artsakh
(rattaché à Bakou en 1920 et peuplé d’Arméniens) ont été perpétrées dès
1991, puis en 2020 et plus récemment en 2022 faisant 300 morts et 7600
réfugiés… (Voir la note d’Armen Kagramanov, chargé d’études à ASCPE)
Depuis décembre 2022, l’Azerbaïdjan bloque la seule voie terrestre entre
l’Arménie et l’Artsakh, menaçant les populations de famine, dans l’indifférence
de l’Union européenne, plus occupée à acheter du gaz à l’Azerbaïdjan que de
défendre l’Arménie et l’Artsakh.
Plusieurs soirées du Cercle « Open World, Regards croisés » ont été organisées
par ASCPE :
Le 23 novembre 2021, la projection de « Blocus » d’Hakob Melkonyan a
salué la résilience de la population de Chinari, un petit village arménien,
et la résistance des hommes qui chaque nuit se battent contre la
violation des frontières par les Azéris. Le film a été suivi d’un échange
émouvant avec le cinéaste originaire de ce village, et par le témoignage
de Clément Chantre, jeune volontaire dans l’Artsakh, pour la rénovation
d’une école primaire dédiée à 80 enfants réfugiés.
Une soirée arménienne organisée le 23 mai 2022, a permis de revenir sur
l’histoire de ce pays et de ses peuples en guerre avec la conférence de
l’historienne Taline Ter Minassian, et de comprendre la nostalgie des
immigrés arméniens et la dureté de la vie dans ce pays oublié grâce à
deux très beaux films : « Vingt ans après » de Jacques Kebadian, de
l’école de vérité au cinéma, et « Village de femmes » de Tamara2
Stepanyan, jeune cinéaste de la nouvelle vague présentée par Hakob
Melkonyan. Une soirée conclue avec le Maître de Duduk Arsen
Petrosyan : https://m.youtube.com/watch?v=BMk5erb0wSI
Une nouvelle soirée arménienne du Cercle cinéphile sera organisée le 29
septembre 2023 avec la projection en avant-première du film de Hakob
Melkonyan « Nous étions frères ».
Notre participation aux évènements organisés par le CCAF à Paris et par Les
Bernardins :
Le 7 décembre 2022, à la Maison de la Chimie
Araïk Haroutiounian, président de la République d’Artsakh était l’invité du
CCAF. Devant une salle comble, il a rappelé le contexte de tensions
géopolitiques et dénoncé la volonté de retour de l’Empire ottoman. Situant
l’Arménie comme un îlot démocratique dans une mer de totalitarismes et de
fanatismes, il a accusé la Turquie et l’Azerbaïdjan, et lancé un cri d’alerte : si
l’Artzakh tombe, c’est toute l’Arménie qui est menacée. Or quelles sont ses
ressources pour se défendre ?
Il a salué l’action du CCAF et ses associations, debout pour défendre l’Arménie,
et leurs interventions auprès des élus et du Président, appelé à développer le
soutien et salué la diaspora qui a contribué à la victoire lors du premier
combat, un combat pour la liberté !
« On pensait obtenir le soutien du monde ! » Or aujourd’hui, nous sommes
confrontés à un problème existentiel dans un monde dominé par l’argent et qui
défend ses intérêts économiques. Ce sont des milliards qui ont été déversés
entre 1994 et 2016 pour contraindre l’Azerbaïdjan à accepter la paix, mais en
2020, elle a déclaré la guerre avec le soutien de la Turquie et l’aide des
mercenaires de la Syrie. « C’était un véritable encerclement qui nous a isolés,
nous privant de soutiens ». Il a salué toutefois les forces russes de maintien de
la paix dont la mission doit être prolongée, a-t-il déclaré.
De la parole aux actes
Claude Fischer Herzog est intervenue pour demander de « passer de la parole
aux actes » en France et pour réclamer des sanctions de l’Union européenne
contre l’Azerbaïdjan au lieu de lui acheter son gaz… qu’elle achète à la Russie !
« Je ne suis pas arménienne, mais je soutiens l’Arménie comme française et
européenne… J’anime un Cercle cinéphile qui a mis l’Arménie et l’Artzakh à son3
programme avec l’ambition de faire connaître ce pays, ses peuples et leur
culture…
Les Français ont très peu d’informations sur l’histoire de l’Arménie et les
drames qu’elle a traversés avec le génocide de 1915, et plus récemment avec la
guerre perpétrée par l’Azerbaïdjan avec le soutien de la Turquie. Certes les
déclarations de soutien de l’Assemblée nationale et du Président sont positives,
mais comment passer de la parole aux actes ? Comment mobiliser l’Union
européenne quand celle-ci défend ses intérêts dans le contexte de tensions
géopolitiques aggravé avec la guerre en Ukraine. Mme Van der Layen n’hésite
pas à se rendre en Azerbaïdjan en notre nom pour diversifier ses sources
d’approvisionnement en gaz, celle de l’UE et celles de l’Allemagne… Mais que
fait-elle pour aider les Arméniens, rien ! On sanctionne la Russie, mais on
coopère avec l’Azerbaïdjan… deux poids deux mesures ! Ne doit-on pas
sanctionner l’Azerbaïdjan ? Et au moins ne pas lui acheter son gaz ?
Qu’attendent les Arméniens de l’Union européenne ?
Le 26 janvier 2023 aux Bernardins : « « Entre résistance et résilience »
De l’intention à l’action
Une question posée lors de la soirée organisée par les Bernardins ce jeudi 26
janvier avec la participation de Mgr Pascal Gollnish, Sylvain Tesson, Jean-
Christophe Buisson, Tigrane Yegavian et la réalisatrice Nora Martirosyan, pour
des échanges avec une salle comble, animés par Antoine Arjakovsky et conclus
par Pascal Bruckner.
Le Directeur de l’Oeuvre d’Orient a témoigné son respect pour le peuple
d’Arménie « premier royaume chrétien », uni par la foi et la culture dans sa
longue histoire de drames perpétrés bien avant le génocide de 1915.
Sylvain Tesson nous a rappelés au « devoir d’être aux côtés des Arméniens »
qui ne se résument pas à leur héritage de douleurs mais au combat de ceux qui
restent « entre résilience et résistance », tout comme nous l’avions vu dans le
très beau film de Hakob « Blocus » (Voir ci-dessus). Ce « pays de longtemps »
comme il l’a appelé est une anomalie démocratique, symbole historique et
spirituel. La France sort de sa léthargie (de sa complicité) mais son « Président
de l’intention » doit agir sans plus attendre « le bon moment », car attendre,
c’est toujours une raison de ne pas agir « la bonne décision, c’est d’en prendre
une ! » conclut-il.4
Jean-Christophe Buisson nous invite à parler de l’Arménie et de l’Artsakh « ne
plus utiliser le terme de Haut-Karabakh, « c’est du turc, du russe, du perse »
trois pays qui ont tous persécuté l’Arménie depuis deux siècles av J.Ch. « Tout
en Artsakh respire arménien » et chacun veut réduire l’Artsakh à une réserve
indienne ? et tout le monde a une bonne raison de ne pas aider l’Arménie ! Le
président Macron est seul au sein de l’UE… mais il y a l’Inde (contre le
Pakistan). Prenant appui sur une carte de la région, il rappelle la longue histoire
de l’Arménie « entourée » au nord par la Russie, à l’est par l’Azerbaïdjan et à
l’Ouest par la Turquie. Au sud, l’Iran et son grand passé perse…
Tigrane Yegavian souligne que le combat pour la sécurité versus souveraineté
est impossible à réaliser. Quant à la Russie, selon lui, « elle soutient l’Arménie
avec la corde du pendu ». Le conflit dépasse l’Arménie et l’Azerbaïdjan dans la
mondialisation. Il cible deux urgences face à la menace existentielle avec le
blocus corridor de Latchine : besoin d’un pont aérien pour acheminer l’aide
humanitaire et de casques bleus (et pas seulement des observateurs).
Dans son film « Si le vent tombe » Nora Martirosyan a voulu faire faire
l’aéroport de Stepanakert pour donner corps à ce pays qui n’existe pas sur la
carte mais qui aspire à sa reconnaissance. Pour elle, « la parole peut quelque
chose dans les grands tournants planétaires »…
En conclusions, Pascal Bruckner rappelle le « génocide « des Chrétiens d’Orient
qui sont passés de 25% à 11 % . « On partage une communauté de destin mais
on ne fait rien car pour l’Occident, l’Orient appartient aux Musulmans »… et
l’UE est incapable de désigner notre ennemi. Pour lui, le 1 er est à Moscou (où
Poutine veut « détruire la France »), le 2 ème est en Turquie qui veut éliminer
l’Arménie et la Bosnie Herzégovine, rappelant l’assassinat de militants kurdes à
Paris. Il rappelle la volonté de Macron d’internationaliser le conflit en mettant
les USA dans le coup alors que ceux-ci décident de tout, et propose de mettre
l’Inde au centre du jeu pour contenir le Pakistan et limiter les risques d’invasion
de l’Arménie.
le Cercle, son ambition et son programme
OPEN WORLD, Regards croisés
Le Cercle cinéphile d’ASCPE, Les Entretiens Européens & Eurafricains
Le Cercle a été créé par Claude Fischer Herzog, directrice d’ASCPE Les
Entretiens Européens & Eurafricains 1 après la Semaine open World, organisée
en novembre 2021 dans le cadre du festival du film « L’Europe autour de
l’Europe » (dont ASCPE est partenaire). Voir La Lettre du cinéma d’ASCPE et le
film réalisé sur la semaine : Open World, Regards croisés :
https://www.youtube.com/watch?v=NOjGb0VNWj0&t=13s
Voir le lancement du Cercle le 28 février (voir le Supplément de La Lettre)Bilan 2022 et propositions pour 2023
Retour sur une première année d’activités :
– Depuis son lancement le 28 février, le Cercle a organisé 8 séances qui
ont rassemblé plus de 1000 participants dont 240 étudiants de
l’Université de Créteil, pour des soirées pleines d’émotions, dans un
contexte bouleversé par la crise et les tensions géopolitiques.
Conférences et projections nous ont permis de :
– découvrir des récits historiques avec « Welcome in Vienna », la
trilogie d’Axel Corti (mars 2022)
– mieux comprendre les relations Russie/Ukraine avec le film
« Donbass » de Sergeï Ionitza (avril)
– ne pas oublier l’Arménie grâce aux films « Vingt ans après » de
Jacques Kebadian et « Village de femmes » de Tamara
Stepanyan (mai)
– accompagner les jeunes néo-zélandais de culture Maori à la
recherche de leur identité lors du road movie « The Pa boys » de
Himiona Grace (juin)
– échanger sur « Les failles de la raison » avec Philippe Herzog et le
film « Descartes » de Roberto Rossellini (septembre)
– vivre une épopée sibérienne fantastique avec « Dersou Ouzala » de
Kurozawa (octobre)
– et une épopée amazonienne avec « L’étreinte du serpent » du
Colombien Ciro Guerra (novembre)1 Voir le site www.entretiens-europeens.org
– prendre conscience des défis pour les Africains d’avoir accès à l’eau
avec « Marcher sur l’eau » d’Aïssa Maïga (décembre)Les séances ont fait l’objet de newsletters et de YouTube (que vous retrouverez
sur le site www.entretiens-europeens.org).
Nous avons eu le plaisir également d’accompagner les ballades organisées par
notre amie Shino Yamagushi et commentées par l’historien Dominique Vibrac
dans le vieux Paris, celui des hommes de culture, qu’elle fut littéraire ou
religieuse…
Les séances seront prolongées par un programme ambitieux de dix séances,
entrecoupées par des soirées exceptionnelles en raison de l’actualité et de
films réalisés par les amis du Cercle, et que nous souhaiterions montrer en
avant-première, et complétées de séances décentralisées…
Dix séances en 2023 : A l’épreuve de notre histoire et de l’altérité
– 19 janvier à la FNTP : « Soirée monétaire » avec un débat à deux voix
entre Jacques de Larosière et Philippe Herzog sur le thème
« Comprendre les crises financières dans notre histoire et leurs impacts
sur la vie des hommes », suivi de la projection « Les raisins de la colère »
de John Ford
– 13 février à la FNTP : soirée sur « le néoréalisme », pour un échange
avec Mathieu Macheret et Irena Bilic, suivi de la projection « Allemagne
année zéro » de Roberto Rossellini
– 17 mars à la FNTP : soirée iranienne autour du combat « Femmes, vie
et liberté » pour la révolution – Hommage à Mohammad Rasoulof
(actuellement en prison) avec son film « Le diable n’existe pas »
– 14 avril : soirée Misogushi organisée avec la Maison de la Culture du
Japon à Paris
– 24 Mai : soirée atomique « le nucléaire sauve des vies », conférence
suivie de la projection du film « Madame Curie » de Melvyn LeRoy
– 5 juillet : AG extraordinaire suivie de la projection de « Laissez-passer »
de Bertrand Tavernier
– 29 Septembre : soirée arménienne avec le film en avant-première
« Nous étions frères » de Hakob Melkonyan
– 20 octobre : rétrospective Douglas Sirk. Le mélodrame au cinéma. En
présence de Bernard Eisenschitz, critique cinématographique, auteur du
livre « Douglas Sirk, né Detlef Sierk » Octobre– Décembre : soirée africaine sur le santé avec Eiffage
Une soirée spéciale avec le festival « L’Europe autour de l’Europe »
Le 25 mars une séance particulière a été organisée dans le cadre du festival
« L’Europe autour de l’Europe » dirigé par Irena Bilic qui aura lieu cette année
du 14 au 28 mars à Paris : « La mort du travailleur » de Michael Glawogger au
Studio des Ursulines.
Une décentralisation des séances
Des séances pourront être organisées en Province, ou dans d’autres pays…
D’ores et déjà, une soirée est prévue avec le Mouvement européen du Touquet
le 11 septembre 2023 pour une soirée européenne « L’Europe à l’heure des
choix. Guerre, démocratie, conscience », suivie de la projection « Un film
parlé » de Manuel de Oliveira.
Comment fidéliser les participants ?
La Lettre cinéma sera envoyée dans nos réseaux avec un bulletin
d’abonnement au Cercle dont vous trouverez un exemplaire en pièce-jointe.
L’abonnement d’un montant de 80 € (120 € pour les couples ; 20€ pour les
étudiants et les jeunes apprentis) donne droit au « Pass Open World » et à
l’entrée libre à toutes les séances pour un an à compter de son
renouvellement, celui-ci courant de date à date.
Pour celles et ceux qui ne prendront pas le pass, un prix d’entrée sera demandé
d’un montant de 15 € (5€ pour les jeunes) donnant droit à la conférence, à la
projection, au moment festif (musique ou danse) et au cocktail…
Elargir nos partenaires…
Quel que soit le nombre d’abonnements que nous réaliserons, ils ne suffiront
pas à couvrir les frais d’organisation du Cercle (environ 3500 € par séance pour
les frais de salle, de régie, de droits d’auteur, de communication et de
montage, de boissons/buffet…).C’est pourquoi, nous recherchons des partenaires : ORANGE, EIFFAGE, la FNTP
et le CLEEE soutiennent les activités du Cercle, et nous démarcherons d’autres
entreprises.
Parmi nos partenaires amis : le Cercle CLE (Contrat – Liberté – Equité) dirigé par
Eric et Martine Bonsch, L’Europe autour de l’Europe, le festival du film
européen de Paris dirigé par Irena Bilic, le festival « Les Antipodes » dirigé par
Bernard Bories, la Maison de la Culture du Japon à Paris.
Nous proposons de rencontrer les Ambassades des pays qui seront à l’affiche.
… et toucher les jeunes
Nous avons noué un partenariat avec l’UPEC (l’Université de Créteil) qui sera
renouvelé au 1 er semestre 2023 (2 ème semestre universitaire), ce qui nous a
permis d’accueillir 300 jeunes de janvier à avril.
Nous démarcherons d’autres Universités ou Ecoles…
Nous proposons de réfléchir à la création d’un groupe « Jeunes cinéphiles »
Des salles pour nos soirées
Les soirées sont organisées à la FNTP (très belle salle de la Maison des Travaux
Publics, 3 rue de Berri à Paris 8), partenaire du Cercle.
Nous pourrons également retourner au Lincoln ou aller dans les salles des
Ambassades ou des Maisons de la Culture des pays à l’affiche avec qui nous
nouerons un partenariat.Compte-rendu réalisé par Claude FISCHER HERZOG
source : Claude Fisher Herzog