Suite à une escalade de la violence cette semaine, qui a vu deux ressortissants indiens blessés du côté arménien de la frontière, Bakou resserre encore son emprise sur la région, refusant même les véhicules de la Croix-Rouge internationale au Karabakh.
Ces derniers mois, la crise humanitaire au Karabakh a été atténuée par l'intervention de la Croix-Rouge internationale, qui s'est efforcée de transférer des médicaments et d'autres fournitures urgentes dans la région. L'organisation a également facilité le transfert d'un petit nombre de patients gravement malades du Karabakh vers l'Arménie.
ARTSAKH : LES MÈRES SONT ATTACHÉES À DES APPROVISIONNEMENTS RARE POUR LES NOURRISSONS AU CŒUR DU BLOCUS
Des mois après avoir vécu sous blocus, Mariam Safaryan a emmené ses trois enfants pour une séance photo arménienne traditionnelle à Stepanakert, dans le Haut-Karabakh.
Cependant, David, huit mois, était plus intéressé à grignoter le fruit artificiel exposé qu'à se faire prendre en photo.
"Je peux compter sur mes doigts combien de fois l'enfant a mangé des fruits au cours des 200 derniers jours", a déclaré Safaryan à CivilNet. Continuer la lecture .
PHOTO DE LA SEMAINE
"J'ai le droit de rester arménien." Des enfants d'Artsakh s'adressent aux institutions internationales, les exhortant à ne pas être indifférents à leur sort et à la violation de leurs droits. Photo par Ani Balayan de CivilNet Artsakh.
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La vue de notre balcon:
DES ARCHIVES
15 juin 1988. Le dernier jour d'un sit-in de protestation qui a commencé près d'un mois plus tôt en Arménie soviétique. Les étudiants universitaires, qui organisaient le sit-in, demandaient aux autorités soviétiques de garantir le droit à l'autodétermination du peuple du Haut-Karabakh.
PREMIÈRE PERSONNE : UN NOM TURC POUR UNE ÂME ARMÉNIENNE
YILDIRIM. C'est mon nom. Cela signifie « éclair » ou « coup de foudre » en turc.
Un nom très turc pour une fille très arménienne. En fait, un nom turc très courant, comme Dupont en France ou Li en Chine.
Le poids de ce nom me suit depuis le jour de ma naissance.
A l'école en France, les professeurs me demandaient, chaque année sans exception, si j'étais turc. S'en suit un moment de gêne, pour eux, quand je leur dis que je suis arménien. C'est vrai que mon apparence n'aide pas.
JÉRUSALEM : "NOUS VIVONS EN ENFER, 25% DE NOTRE QUARTIER ARMÉNIEN A DISPARU" – PARTIE 1
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Alors que CivilNet poursuit sa couverture du problème du Jardin des vaches (ou Goveroun Bardez) à Jérusalem, nous déballons ce problème complexe et le mouvement de protestation qui a commencé, après qu'il est apparu que 25 % du quartier était loué depuis 99 ans.
Restez à l'écoute pour la deuxième partie où nous verrons pourquoi la question du jardin des vaches est également contestée par des voix palestiniennes, jordaniennes, grecques et juives.
Le taux d'inflation annuel de l'Arménie est tombé à seulement 1,3 % le mois dernier, en forte baisse par rapport aux 8,6 % de l'année dernière et bien en deçà de l'objectif de 4 % de la Banque centrale pour cette année.
Les prix des denrées alimentaires et du carburant sont en baisse significative d'une année sur l'autre, tandis que les coûts des services continuent d'augmenter dans un contexte de forte demande des consommateurs.
Le chef de la Banque centrale d'Arménien'a pas nié l'exactitude des informations parues dans la presse russe selon lesquelles les banques arméniennes ont commencé à empêcher les entreprises russes d'effectuer des paiements pour les importations de produits électroniques.
« La Banque centrale ordonne aux banques de travailler conformément aux meilleures pratiques internationales », a déclaré mardi Martin Galstyan. "Les banques gèrent leurs propres risques."
Le chef d'une société de logistique russe a déclaré à Kommersant que la Russie pourrait être confrontée à une pénurie d'électronique critique "d'ici six mois ou un an" si les banques arméniennes et étrangères continuent de bloquer les paiements pour les livraisons de ces marchandises.
Jim O'Brien, le coordinateur des sanctions du département d'État, a déclaré à Politico la semaine dernière que les États-Unis avaient désigné l'Arménie comme l'un des cinq pays "aidant la Russie" à briser les sanctions. Les autres sont la Géorgie, le Kazakhstan, la Turquie et les Émirats arabes unis.
