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Noyan Tapan via news-nt.com 

7 févr. 2023 22:01 (il y a 12 heures)

 

À moi

 

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Entretien téléphonique entre E. Macron et N.Pachinian
 

Le Président de la République s’est entretenu par téléphone avec M. Nikol PACHINIAN, Premier ministre d’Arménie, ce lundi 6 février 2023.

Le chef de l’Etat a exprimé la pleine solidarité de la France envers les populations arméniennes qui font face à des besoins humanitaires croissants. Il a en outre dit la priorité que constitue pour lui le rétablissement de la libre circulation le long du corridor de Latchine bloqué depuis le 12 décembre dernier.

Le Président de la République a de même réitéré son engagement total pour la sécurité de l’Arménie, et sa détermination à œuvrer au dialogue pour qu’une solution politique durable soit trouvée dans la région.

Le Président de la République et le Premier ministre ont salué le déploiement d’une nouvelle mission d’observation de l’Union européenne à la frontière du pays avec l’Azerbaïdjan, qui contribue à stabiliser la situation.

Les deux dirigeants sont convenus de rester en contact étroit.

 

 

 
L’Arménie, elle aussi, offre son aide à la Turquie, frappée par un séisme
 

Par la voix de son ministère des Affaires étrangères, l'Arménie a exprimé sa volonté de venir en aide et fournir un soutien aux populations de Syrie et de Turquie touchées par le tremblement de terre du 6 février.

Dans un message de condoléances aux familles des victimes, l e Premier ministre Nikol Pashinyan a fait part de sa grande tristesse après la nouvelle du tremblement de terre dévastateur en Turquie et en Syrie. Souhaitant un prompt rétablissement aux blessés, il a assuré du soutien et de l'aide de l'Arménie dans cette épreuve.

La nature et le montant de l'aide humanitaire sont actuellement en cours de discussion.

 

 
 
Poutine et Pachinian discutent à nouveau
du blocage de la route du Karabakh
 
 
 

 
 
Le Premier ministre Nikol Pachinian a de nouveau exhorté la Russie à aider à mettre fin au blocus continu de l’Azerbaïdjan sur le corridor de Latchine lors d’un appel téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine mardi 31 janvier.
Le bureau de presse de M. Pachinian a déclaré qu’il avait évoqué avec M. Poutine la crise humanitaire dans le Haut-Karabakh causée par le blocus et « souligné l’importance des mesures nécessaires prises par la Russie pour la surmonter. »
« Dans ce contexte, les activités de la mission russe de maintien de la paix dans le Haut-Karabakh ont été discutées », a ajouté le bureau sans donner plus de détails.
Le Kremlin n’a fait aucune mention explicite du blocus dans son compte-rendu de l’appel qui, selon lui, a eu lieu « à l’initiative de la partie arménienne. »
« La situation actuelle autour du Haut-Karabakh a été discutée en mettant l’accent sur l’importance d’une mise en œuvre cohérente de l’ensemble des accords trilatéraux entre les dirigeants de la Russie, de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan », a-t-il ajouté.
Auparavant, M. Pachinian et d’autres responsables arméniens avaient accusé les forces de maintien de la paix russes de ne pas faire grand-chose pour débloquer l’unique route reliant le Karabakh à l’Arménie. Certains de ces responsables ont également affirmé que la Russie utilisait le blocus pour tenter de forcer l’Arménie à rejoindre l’« État union » de la Russie et du Belarus. Moscou a vivement démenti ces allégations.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, a appelé Bakou à mettre fin au blocus lorsqu’il s’est entretenu par téléphone avec son homologue azerbaïdjanais Jeyhun Bayramov, le 17 janvier. Le lendemain, M. Lavrov a prédit que le trafic commercial par le corridor reprendrait bientôt.
Depuis, les manifestants soutenus par le gouvernement azerbaïdjanais continuent de maintenir le corridor de Latchine fermé et exigent que Bakou ait accès aux mines de cuivre « illégales » du Karabakh. Le gouvernement azerbaïdjanais reste inflexible dans son soutien à leurs actions, malgré les pressions exercées par les États-Unis et l’Union européenne.
Les relations de l’Arménie avec la Russie se sont également envenimées en raison de la décision de l’Union européenne d’envoyer une nouvelle équipe d’observateurs à la frontière instable de l’Arménie avec l’Azerbaïdjan.
Le ministère russe des affaires étrangères a déclaré la semaine dernière que cette mission de surveillance de deux ans s’inscrivait dans le cadre des tentatives de l’UE de « repousser à tout prix les efforts de médiation de la Russie ». Il a également critiqué Erevan pour avoir accepté le déploiement de l’UE et refusé une mission similaire proposée par l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) dirigée par la Russie.
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La France continuera d’aider l’Arménie par le biais de programmes économiques
 

La partie française est prête à continuer à aider l’Arménie en termes de réformes stratégiques à court et à long terme de l’économie. Cela a été déclaré par l’ambassadrice française en Arménie Anne Luyo lors d’une réunion avec le vice-premier ministre Tigran Khachatryan.

L’ambassadeur a souligné la présence de grandes organisations françaises dans l’économie arménienne, rapporte le service de presse du gouvernement de la RA.

Le vice-premier ministre Khachatryan apprécie grandement l’engagement de la France à développer et à étendre la coopération économique avec l’Arménie. Il a souligné l’importance de soutenir la partie française du programme de réforme mis en œuvre par le gouvernement de la République d’Arménie, en soulignant la coopération économique arméno-française pour 2021-2026 et la mise en œuvre de nouvelles actions en vue de la mise en œuvre des dispositions de la feuille de route.

Les interlocuteurs ont également abordé la situation humanitaire au Haut-Karabakh à la suite du blocus du corridor Lachin par l’Azerbaïdjan, ainsi que la possibilité de développer une coopération dans la direction de programmes représentant la mutuelle.

 

 
 
Le ministre arménien de la Défense Suren Papikyan entreprend une tournée dans toutes les unités militaires
 
 
 

 
 
Les tournées du ministre de la Défense Suren Papikyan dans toutes les unités militaires de Défense ont commencé. Elles seront continues et auront également un caractère de visite-surprise.
Les visites inopinées ont pour but de prendre connaissance du processus d’organisation du service, de la discipline et du moral des militaires, des conditions sociales et de vie, de l’aménagement de la ligne de front et de l’avancement des travaux de construction.
Au cours des visites, le ministre de la Défense aura également des conversations directes avec les soldats, écoutant leurs préoccupations et leurs problèmes. En cas d’attitude indifférente envers le service, de relations non statutaires, de niveau de discipline insuffisant, de tels et autres défauts, les responsables seront sévèrement punis.
Les incidents qui se produisent à la suite d’une mauvaise attitude envers le service, la négligence et l’indiscipline doivent être complètement exclus. 2023 devrait être une année de correction des erreurs ou dysfonctionnement par un travail acharné.
Le 1er février, par une visite similaire, le ministre de la Défense a visité l’unité militaire N du ministère de la Défense, suivant l’organisation du service définie par l’ordre du jour.
Le ministre Suren Papikyan a également visité le stand de tir et a observé le cours de la formation pratique. Après cela, une conversation directe a eu lieu avec les militaires, au cours de laquelle le ministre de la Défense s’est intéressé au processus d’organisation du service, aux problèmes existants, aux problèmes liés à l’équipement du personnel et aux armes officielles.
Répondant aux questions intéressant les militaires, le chef de la Défense a présenté des détails sur le déroulement des réformes lancées dans les forces armées. Source Radio Publique d’Arménie.
 
 
Communiqué de la Croix Bleue des Arméniens de France
 
 
 

 
 
L’attaque de l’Azerbaïdjan en septembre 2022 n’a pas dégénéré grâce à l’Iran selon Vahan Kostanyan
 
 
 

 
 

Grâce aux actions et aux déclarations de l’Iran en septembre 2022, il a été possible d’éviter le développement ultérieur de l’attaque azérie.
Vahan Kostanyan, vice-ministre arménien des Affaires étrangères, l’a déclaré lors d’une conversation avec le périodique Al-Monitor.
« La partie arménienne a des informations selon lesquelles en septembre de l’année dernière, l’Azerbaïdjan préparait de plus grandes attaques contre l’Arménie. Les actions et les déclarations de l’Iran ont contribué à arrêter la détérioration de la situation » a-t-il déclaré.

Dans le même temps, ce dernier a déclaré que bien que l’Iran soit aujourd’hui un partenaire important de l’Arménie, la frontière avec l’Iran et la Géorgie est d’une importance primordiale pour l’Arménie, mais la question de l’achat de munitions iraniennes n’est pas à l’ordre du jour de l’Arménie.
Evoquant les objectifs de l’Azerbaïdjan, le vice-ministre des Affaires étrangères en a identifié trois.
« Pour mener à bien un nettoyage ethnique dans le Haut-Karabakh, provoquer des tensions militaires à grande échelle dans la région et forcer l’Arménie à fournir un corridor territorial. » Source Armtimes

Krikor Amirzayan

 

 
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