Je te hais, tu me hais , nous nous haïssons, ils se haïssent…
La politique de la haine.
En Armenie le seduisan tmot de "paix"est souvent prononcé par les politiciens qu'on a envie de
croire et malgré tout, il est possible de vivre en paix avec les voisins belliqueux .
Actuellement, notre voisin de l'Est diffuse une vidéo decrivant comment il tire sur les soldats
arméniens capturés.
Pendant la guerre de 44 jours, il y eut des atrocités similaires et le ministère de la Défense azéri
avait declaré que les documents diffusés étaient faux et qu'ils avaient été distribués par les
Arméniens afin de discrediter l'Azerbadjan.
Certaines organisations internationales publient des déclarations de condamnation que Bakou
ignore et ne prend pas en consideration.
Actuellement l'Azerbaïdjan a un 'atout énergétique' qu'il utilise surtout en marge de la guerre
russo-ukrainienne..Anto Gomez-Reino, député du Parlement espagnol, s'est adressé à Aliev , en
déclarant "Il est doublement intolérable d'utiliser de manière perverse la position politique que
votre gaz vous donne afin de mener des invasions et violer les droits de l'homme".
Mais, cette opinion d'un Europeen n'aura aucun effet sur Aliev qui a signé une entente sur la
securité energétique avec l'EU.
Alors que l''Armenie avance la noble idée d'instaurer une 'ère de paix', l'Azerbaïdjan mène une
politique de haine contre l'Arménie.
Pendant ce temps en Turquie, le président d'une amicale turco-azerie déclare (*)
"Les tortures commises pardes soldats arméniens sur les soldats azéris martyrisés prouvent la
brutalité des Arméniens qui n'ont aucune crainte de Dieu.
Pour vendre deux biscuits , la Turquie ne doit pas ouvrir la frontière et établir des relations avec
l'Arménie.
Le peuple turc n'oublie pas et ne fera pas oublier le génocide commis contre sa nation par les
Arméniens. Et nous esperons qu'après 107 ans, l'armee azerbaidjanaise vengera cette attrocité.
Et nous conseillons aux Etats-Unis et à l'Union europeenne de se libérer de leur politique armeno-
phile" (fin de citation)
Dans une telle conjoncture,faut-il donner raison aux tendances politiques qui s'opposent à tout rapprochement avec la Turquie ?
(*) akishaber.com/tr
Zaven Gudsuz zaven471@hotmail.com (ancien élève des collèges mekhitaristes d'Istanbul et de Sèvres)
diplômé d'économie de l'Université de Nantes en France