La Russie veut rester influente dans les pays ,ses voisins directs, les États d'Europe, du Sud Caucase et d'Asie centrale, ayant voulu son influence et sa « protection » durant des décennies pendant l'èpoque soviétique et qui sont maintenant indépendants) et cherche à s'imposer comme puissance régionale.
Elle veut apporter sa puissance , soit sur le plan politique, économique ou culturel.
– Les Russes distinguent deux degrés : un noyau dur, les États slaves (Ukraine, Biélorussie, Transnistrie et Kazakhstan) dont la population compte 25 % de Russes.
Puis, les États du Sud Caucase et d'Asie centrale considérés comme des pays amis ou partenaires, mais qui servent également de zone tampon entre la Russie et certains États vus comme des sanctuaires terroristes (l'Afghanistan, la Chine, l'Iran…).
Affaiblie par rapport à la toute puissance de l'URSS, la Russie est préoccupée par sa sécurité frontalière.
Elle offre – ou bien impose – ses services à ces anciennes républiques socialistes, trop faibles pour garantir elles-mêmes le contrôle frontalier.( les Mig 29 de l'armée de l'air russe protègent le territoire de l'Arménie)
Les Russes qui décident de « rentrer » en Russie à force de subir des phénomènes de rejet dans les nouveaux États indépendants dans lesquels ils vivent, est un phénomène relatif.
Le mouvement de retour est de faible ampleur…
à suivre
