Cher(e) ami(e) de la Santé,
Blâme pour le Pr Raoult !
Oui, l’Ordre des médecins a infligé un « blâme » au meilleur infectiologue de France, dont le protocole anti-Covid a sauvé des milliers de vies dans le monde.
Pendant ce temps, les médecins « Big Pharma », eux, ont reçu la Légion d’honneur !
C’est le cas notamment de Karine Lacombe, qui a promu le médicament toxique de Gilead et répandu d’innombrables « fake news »[1].
Tout est comme ça, dans cette crise du Covid : la réalité et les valeurs sont inversées.
Ceux qui disent la vérité sont accusés de « complotisme ».
Et ceux qui répandent des mensonges sont récompensés (et choyés par les médias).
Ainsi, presque personne ne s’insurge quand le gouvernement cherche à tout prix à vacciner des enfants en pleine santé et qui ne risquent rien, avec un vaccin expérimental dangereux…
…mais les médecins qui soignent les malades, comme le Pr Raoult, sont accusés de « charlatanisme » !
Les psychologues appellent cela la « projection » : les manipulateurs ont tendance à projeter sur les autres leurs propres turpitudes.
C’est ainsi que les autorités de santé ont diabolisé l’hydroxychloroquine en l’accusant faussement d’être « cardiotoxique » (dangereuse pour le cœur)….
…alors que ce sont les deux « produits » qu’elles ont autorisé qui sont dangereux pour le cœur : le remdésivir de Gilead et les vaccins anti-Covid !
C’est un bel exemple d’inversion accusatoire : on accuse l’autre de ce dont on est soi-même coupable.
Et des exemples, dans cette affaire, il y en a d’autres :
Une « épidémie de non-vaccinés » ? Tu parles !!
Depuis le début, le gouvernement nous manipule et nous infantilise : si le virus recule, c’est que le gouvernement a pris les bonnes mesures.
Mais si au contraire les cas positifs explosent, c’est de notre faute : pas assez masqués, pas assez « distanciés »… et, dernièrement, pas assez vaccinés.
Cet été, avec la vague « delta », ils ont donc essayé de faire porter le chapeau aux « non vaccinés ».
Fin août, le Pr Pialoux a osé parler d’une « épidémie de non-vaccinés ».
De même, le Pr Megarbane avait déclaré (sans rire), à la télévision :
« Le variant delta cherche les personnes non-immunisées pour les infecter.
À l’inverse, dès qu’il voit une personne qui a un système immunitaire qui le reconnaît, il dévie sa route »
Même Laurence Ferrari, journaliste pourtant très conformiste, s’est esclaffée : « ah bon, il a un radar ? »
Tout cela était de la poudre aux yeux, un mensonge pour reporter la culpabilité sur les non-vaccinés.
En réalité, on savait depuis le début que ces vaccins ne pouvaient pas stopper l’épidémie.
Car les vaccins anti-Covid ne sont pas stérilisants : ils ne peuvent pas empêcher de porter le virus et de le transmettre (ils étaient seulement conçus pour éviter les formes graves).
Dès le début de l’été, les autorités américaines ont reconnu que les vaccinés et non-vaccinés infectés avaient autant de virus dans le nez.
Puis, au début de l’automne, plusieurs études sont venues enfoncer le clou : comme on pouvait s’y attendre, les vaccinés contaminent autant de monde que les non-vaccinés[2].
Mais en réalité, au mois novembre, il n’y avait plus besoin d’études.
Il suffisait d’avoir les yeux ouverts, sur des pays comme l’Allemagne :
La plus haute vague de cas, impressionnante, a eu lieu à l’automne 2021…
…avec près de 80 % de la population adulte vaccinée !
C’est la preuve évidente que le vaccin n’empêche pas la transmission du virus et ne freine en rien l’épidémie.
Et on a vu la même chose un peu partout.
Il n’y a jamais eu autant de cas en Autriche, en Suisse ou en Belgique… que depuis que la population est vaccinée !
Bref, on peut discuter de la capacité du vaccin à éviter les « formes graves » (en réalité moins qu’on ne le prétend, seulement quelques mois, et au prix d’effets indésirables graves)…
…mais on ne peut pas faire porter le chapeau de la vague épidémique aux « non-vaccinés ».
Sauf bien sûr si on cherche un « bouc émissaire » pour éviter de reconnaître qu’on s’est trompé.
Comme pour le naufrage de l’hôpital :
Ils détruisent l’hôpital… et veulent ensuite nous faire culpabiliser !
Regardez le nombre de patients hospitalisés pour Covid, en ce moment en France :
Nous sommes au pic des hospitalisations (les admissions commencent à refluer)…
….et nous avons eu affaire à une vaguelette !
Et surtout, cela représente une toute petite proportion du total des hospitalisations (Covid et non-Covid) !
En 2020, malgré les deux grosses vagues au printemps et à l’automne, le séjour des patients hospitalisés Covid n’a pas dépassé les 4 % du total des séjours hospitaliers !
Cela veut dire que, sur toute l’année, 1 patient sur 25 était hospitalisé pour Covid[3] !
Certes, il y a eu des pics à gérer. Certes, cette proportion était supérieure en réanimation (1 sur 5).
Mais globalement, le Covid n’a pas déclenché un tsunami d’hospitalisations par rapport à d’habitude.
Simplement, à la moindre « surcharge », c’est toujours la panique à l’hôpital.
Regardez ce grand titre de 2015 :
Ou celui-ci, de 2017 :
Ou encore celui-là, de 2019 :
Bref, chaque hiver, les hôpitaux étaient déjà surchargés.
Et pourtant, savez-vous ce qu’a décidé le gouvernement, en pleine pandémie Covid ?
Fermer encore davantage de lits !
Oui, en 2020, ils ont encore fermé 5 700 lits d’hôpitaux[4] :
Et en 2021, le gouvernement a fait encore pire.
Avec l’obligation vaccinale des soignants, le ministre Olivier Véran a réalisé un grand « plan social » à l’hôpital !
Mi-octobre, on comptait 130 000 soignants encore non-vaccinés, au total.
Ce ne sont pas tous des personnels hospitaliers, bien sûr, mais vous pouvez imaginer que l’hôpital aussi a été impacté sévèrement.
Et comme par hasard, en octobre, le Conseil scientifique a découvert que 20 % des lits d’hôpitaux théoriquement disponibles étaient fermés, faute de soignants[5] !
Rendez-vous compte.
Ce gouvernement a suspendu et stigmatisé des soignants non-vaccinés sans la moindre justification valable (un soignant testé régulièrement risque beaucoup moins de contaminer ses patients qu’un soignant vacciné)…
…et avec comme effet de saborder encore un peu plus l’hôpital, de fermer encore plus de lits !
Encore plus fou : on vient d’apprendre que les soignants ont désormais le droit de travailler même s’ils sont testés positifs[6] !
C’est extraordinaire : un soignant non-vacciné testé négatif (et non contaminant) n’a plus le droit de travailler… mais un soignant vacciné testé positif (et contaminant) peut venir à l’hôpital !
Tout ça, alors qu’il y a un moyen simple de réduire drastiquement le nombre de patients Covid à l’hôpital : faire de la prévention et des traitements précoces, comme celui du Pr Raoult.
Mais on ne veut pas en parler.
On préfère rejeter la faute sur les non-vaccinés.
Ce qui m’amène à une autre inversion accusatoire, très grave elle aussi :
On a accusé les non-vaccinés d’être des « usines à variants »… alors que ce sont les vaccins qui augmentent le risque d’apparition de variants !
Là aussi, il était évident depuis le début que les vaccins Covid risquaient de créer des variants échappant à l’immunité vaccinale, et donc prolongeant l’épidémie.
Il peut arriver même que ce genre de vaccins favorise un variant plus dangereux !
Cela a été démontré scientifiquement chez des volailles en 2015[7].
Une campagne de vaccination massive a eu lieu chez des volailles contre la maladie de Marek, relativement peu dangereuse.
Les volailles vaccinées ont eu une protection contre les formes graves… mais elles ont continué à être infectées et à transmettre le virus autour d'elles.
Et le résultat, c’est qu’une souche plus virulente a émergé !
« Notre étude démontre que l'utilisation de vaccins imparfaits peut promouvoir l'évolution de souches virales agressives », a résumé le Pr Neir, l’un des auteurs de l’étude[8].
Or les vaccins Covid sont exactement de la même nature, des « vaccins imparfaits », qui n’empêchent pas la circulation du virus et risquent donc de pousser à l’émergence de nouveaux variants.
Et c’est ce qu’on commence à observer.
Des chercheurs de l’Université du Michigan ont montré qu’on trouve le plus de mutations résistantes au vaccin… là où la couverture vaccinale est la plus élevée[9].
C’est exactement ce qu’avait prédit un excellent généticien, le Pr Vélot, sur CNews :
« Si on fait une vaccination massive avec un vaccin qui laisse circuler le virus, on se place dans les conditions d’émergence et de sélection de variants ».
Dans cette logique, il ne faut surtout pas vacciner tout le monde.
Au contraire, il est de la responsabilité des personnes non vulnérables de ne pas se faire vacciner, pour éviter cette pression sélective sur les variants.
Donc c’est la vaccination de masse avec un vaccin « imparfait » qui cause des variants !
Et les non-vaccinés ne sont pas coupables, bien au contraire !
S’ils sont assez nombreux, ce sont les non-vaccinés qui protègent les vaccinés du risque d’émergence de variants !
Vous voyez que tout est inversé.
Ne vous faites pas avoir par les manipulateurs.
Il faut continuer à les dévoiler pour ce qu’ils sont.
Courage, tenez bon,
La réalité est en train de nous donner raison à vitesse grand V.
Bonne santé,
Xavier Bazin
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L’avis de Xavier Bazin : Santé Corps Esprit
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