des vieilles routes aux nouvelles racines Institut des Etudes arméniennes de l'Université de Californie du Sud through old routes to new roots In a one-of-its-kind festival, listen to talks on ancestral roots, meet post-revolution leaders from Armenia, enjoy art and music – all with a glass of beer from Armenia. Established in 2005, the USC Institute of Armenian Studies supports multidisciplinary scholarship to re-define, explore and study the complex issues that make up the contemporary Armenian experience – from post-Genocide to the developing Republic of Armenia to the evolving…
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Le Ruthénium 106 détecté dans l’atmosphère vient-il de l’Oural russe ?
Début octobre, des stations européennes de radioactivité atmosphérique ont mesuré des traces anormales de ruthénium 106, en Norvège, en Suisse, en Autriche, en Italie, en Allemagne, et en France. À un niveau très bas. En France, la station de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire de La Seyne-sur-Mer a détecté 7,7 micro-becquerels par mètre cube d'air – taux plusieurs milliers de fois plus faibles que les niveaux d'alerte. Il n'y a aucun risque pour la santé et l'environnement, assure l'IRSN. Mais le ruthénium 106 est un élément artificiel normalement absent dans…
Read MoreNHM participe à “La Nuit des idées” par l’Institut Français du Bénin
Le président Poutine a la cote
La cote de popularité du président russe a battu un nouveau record. Le taux de popularité de Vladimir Poutine, régulièrement mesuré par le « Centre Levada », un institut de sondage indépendant, atteint plus de 80 %. L'un des responsables de cet institut réfute l'idée selon laquelle les personnes interrogées auraient peur d'exprimer leur désapprobation, alors qu'elles n'hésitent pas à désigner le président russe comme étant responsable de la corruption. Selon certains experts "un tel niveau d'approbation de l'activité du président russe est dû, avant tout, aux événements en Syrie, aux frappes de l'aviation russe…
Read MoreUn couple d’Américains se privent au maximum pour prendre leur retraite à 33 ans
Lui est ingénieur en informatique, elle travaille dans la communication : tous deux ne supportent plus la vie de bureau , enfermés cinq jours par semaine. Alors les deux Américains se privent au maximum pour épargner plus de 70% de leurs revenus .Ils ont ainsi prévu de se retirer en 2017 à 33 ans pour aller vivre dans une maison de campagne dans le Vermont . «Notre ennui et notre désintérêt pour notre travail sont arrivés à ce point que nous sommes en colère. C'est comme si nous vivions une crise de la quarantaine à 29 et 30…
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