Et après ?

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Facebook, Twitter, Instagram, blogs, mails… Quelque 58 millions de Français ont une existence numérique, dont 39 millions d’utilisateurs des réseaux sociaux, selon la dernière étude annuelle de We are social et Hootsuite en 2020. Et chaque jour, près de 8.000 personnes inscrites sur Facebook décèdent dans le monde. Si bien que des projections établies par l’Oxford Internet Institute, affilié à l’Université d’Oxford, en avril 2019, envisagent que le réseau social de Mark Zuckerberg devrait dénombrer plus de comptes de défunts que de vivants d’ici à 2070 ! Or, “force est de constater que cette mort biologique, que le langage courant évoque par euphémisme sous le terme de ‘disparition’, ne fait pas disparaître, dans le monde numérique, les innombrables traces laissées sur la toile par un individu biologiquement décédé. Le numérique conserve au contraire toutes ces traces, et au besoin continue de les répliquer”, préviennent les notaires de France dans leur rapport publié à l’occasion de leur 117e congrès qui s’est tenu fin septembre sur le thème “Le numérique, l’Homme et le droit”.

 

La loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 a pourtant organisé le sort des données à caractère personnel après la mort. Issu d’un processus inédit de consultation citoyenne, ayant donné lieu à 21.000 participations

 

  

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