|
Les 29 et 30 juin 2022, la Ville et la Métropole de Lyon organisent les 4ème Assises de la coopération décentralisée franco-arménienne, avec l’association des Communes d’Arménie et des Cités-Unies France, dans le but de renforcer les relations entre ces deux pays et rendre plus efficaces les actions menées.
|
|
|
Placées sous l’égide du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères français, ces journées sont l’occasion pour les différents acteurs des partenariats franco-arméniens de se retrouver, d’échanger et de dresser le bilan des actions menées, ainsi que d’identifier les prochaines grandes étapes de la coopération entre l'Arménie et la France, afin de définir ensemble une voie commune.
Lors du dîner du 29 juin, nous exposerons les céramiques artisanales produites à Gumri dans l'atelier de notre partenaire, la Fondation Family Care.
Nous remercions la Ville et la Métropole de Lyon de nous permettre de présenter les céramiques de Gumri à l’occasion de ce moment d’échange, de culture et de rayonnement de l’Arménie.
|
|
|
Dans le cadre de sa politique de soutien envers la culture arménienne, Muscari est partenaire de deux expositions cette année.
|
|
 |
LES BRAVES. Région de Karmirchouka, Artsakh (Haut-Karabagh), 2020 © Antoine Agoudjian
|
|
|
Les œuvres d’Antoine Agoudjian sont à retrouver jusqu’au 3 juillet, au centre d’art contemporain NPAK à Erevan (Arménie).
Cette série photographique met en avant les cicatrices des guerres, du génocide de 1915 à la guerre du Haut-Karabagh de 2020 en passant par le conflit syrien. Antoine Agoudjian œuvre, depuis plus de 20 ans, pour « immortaliser la mémoire afin qu’elle n’appartienne pas qu’au passé ».
Il s’agit pour lui de se placer comme témoin des souffrances du monde pour transmettre une silencieuse vérité et un message d’espoir.
|
|
 |
Hrachya Vardanyan, Crack{s}, installation, 2022 © Gurgen Ginosyan
|
|
|
En parallèle de la Biennale de Venise, Hrachya Vardanyan présente son installation dans l’exposition collective Personnal Structures, au Palazzo Mora de Venise, jusqu’au 27 novembre.
L'installation crack{s} [qu’on pourrait traduire par « fissure(s)] présente le tapis comme un messager au sein d'expériences culturelles et individuelles. L'installation de deux peintures à grande échelle imprègne une résonance de souvenirs immatériels. Chacun sert de carte topographique des sphères, avec des fissures révélant des idées et permettant le flux et l'échange d'informations.
|
|
|
|
