1 Nouvel Hay Magazine

Trump ou Biden , ce sont les lobbies (militaro-industriel etc..) & l’Etat profond US qui mènent l’Amérique

de notre envoyé spécial aux USA

 

 

 

 

 

La première année de mandat du Président démocrate Joe Biden a été marquée par des revers géopolitiques, (retrait chaotique des GI’s d’Afghanistan, après vingt ans de présence..).

A présent  c’est en Ukraine que la situation se tend, car Washington refuse toujours les garanties de sécurité demandées par Moscou. Joe Biden,  en envoyant des troupes et des armes en Ukraine, fait monter la pression

Après avoir provoqué une "révolution" en injectant des millions de $ par des ONG "non profit" , les USA ont mis en Ukraine un gouvernement pro-US ( L'Ukraine était depuis longtemps sous influence soviètique).

Durant sa présidence, "Trump avait voulu jouer l’apaisement", en tenant vis-à-vis de la Russie un discours moins belliqueux.

Les pressions de l’État profond américain étaient telles qu’il n’a pu aller au bout de sa politique.

  "le Président Trump, sachant qu’il ne  passerait pas  outre le vote quasi unanime du Congrès favorable aux sanctions, n’a eu d’autre choix que de signer la nouvelle législation."

Le Congrès, et non pas le Président Trump , menait ainsi la politique étrangère américaine face à la Russie. 

"Depuis la fin du mandat Bush junior, il y a une constance de la politique américaine, considérant que la Chine est un danger",.

Et, concernant la Russie, "la politique qui consistait à profiter de la faiblesse du pays à la chute de l’URSS ,a été menée par tous les Présidents depuis Georges Bush père", &, "même s’il y a eu des rapprochements personnels entre Donald Trump et Vladimir Poutine, il n’y a pas eu, en particulier sur le dossier ukrainien, de changement radical de doctrine. 

D’après les premiers commentaires de Vladimir Poutine, les principales préoccupations russes sont restées sans réponse. N’ont pas été pris en compte les appels de Moscou à ne pas élargir l’Alliance atlantique, qui devrait reculer sur les positions fixées en 1997 ainsi qu’à renoncer au déploiement de missiles près des frontières de la Russie.

Après avoir rejeté les demandes de garanties sécuritaires de Moscou, Washington a saisi ce vendredi le Conseil de sécurité de l’Onu. Et ce, sous prétexte que les mouvements de troupes russes en Russie constitueraient une "menace claire pour la paix et la sécurité internationales".

Des déclarations outre-Atlantique , comme celle du sénateur Roger Wicker. N’"exclu [ant] pas une frappe nucléaire préventive", l’élu Républicain a estimé qu’en cas d’attaque sur l’Ukraine, la flotte américaine pourrait depuis la mer Noire faire "pleuvoir la destruction" sur les forces russes.

Si Joe Biden a assuré qu’aucun soldat américain ne mourrait pour l’Ukraine, il n’en sera pas de même pour les soldats des nations européennes. …