OTC
COVID-19 : variante Delta confirmée en Arménie
L'analyse moléculaire-génétique d'échantillons prélevés sur des patients atteints du COVID-19 a montré que la variante Delta de la maladie circule en Arménie, a annoncé la Ministère de la Santé.
4 des 30 échantillons ont été testés positifs pour la variante britannique, tandis que 25 étaient de la variante Delta.
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2.Le Courrier d’Erevan
27 juillet 2021
L'accord sur le cessez-le-feu est respecté – Ministère de la Défense arménien
La situation à la frontière arméno-azerbaïdjanaise dans la section de la province de Gegharkunik est stable à 18h00, le 28 juillet, l'accord de cessez-le-feu est principalement respecté, a informé ARMENPRESS du service de presse du Ministère de la Défense arménien.
''Aucun incident n'a été observé dans les autres sections de la frontière arméno-azerbaïdjanaise. Les forces armées arméniennes gardent un contrôle total de la situation'', indique le communiqué.
Les forces armées azerbaïdjanaises ont attaqué les frontières de l'Arménie dans la section de Verin Shorja-Sotk (province de Gegharkunik) le 28 juillet. Le ministère de la défense arménien a informé qu'à la suite de la provocation azerbaïdjanaise, 3 militaires arméniens ont été tués, 4 ont été blessés.
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3.Le Courrier d’Erevan
2 août 2021
Nikol Pashinian est désigné Premier ministre de la République d'Arménie
Nikol Pashinyan a été désigné Premier ministre de la République d'Arménie par le décret du Président. Comme le rapporte "Armenpress", le décret a été publié sur le site officiel du Président.
" En vertu de l'article 149, première partie de la Constitution de la République d'Arménie, nommer Nikol Pashinyan au poste de Premier ministre ", indique le décret.
La candidature de Nikol Pashinyan au poste de Premier ministre a été proposée par le parti "Contrat civil" de l'Assemblée nationale.
Nikol Pashinyan a démissionné de son poste de Premier ministre le 25 avril 2021, marquant le début des élections législatives anticipées en Arménie.
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4.Les Nouvelles d’Arménie
3 août 2021
Le Président russe Vladimir Poutine a félicité Nikol Pachinian pour sa nomination au poste de Premier ministre
Le Président russe Vladimir Poutine a adressé un message de félicitations à Nikol Pachinian pour sa nomination au poste de Premier ministre de la République d’Arménie, a informé le service de presse du Kremlin. Le message dit notamment :
« Cher Nikol Vova,
Veuillez accepter mes félicitations pour votre nomination au poste de Premier ministre de la République d’Arménie.
J’espère que les activités du gouvernement que vous dirigez contribueront à la poursuite du développement des relations amicales et alliées entre la Russie et l’Arménie, ainsi qu’au renforcement de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans le Caucase du Sud.
Pour notre part, nous sommes prêts à poursuivre un dialogue constructif et un travail conjoint sur les questions actuelles de l’agenda bilatéral et régional.
Je vous souhaite beaucoup de succès, ainsi que bonne santé et prospérité. » Source Armenpress.
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5.Les Nouvelles d’Arménie
3 août 2021
Inauguration tendue du nouveau Parlement arménien
L’Assemblée nationale issue des élections législatives anticipées du 20 juin remportées par le Parti Contrat civil du premier ministre sortant Nikol Pachinian s’est réunie pour la première fois le 2 août. Cette séance inaugurale, dans le sillage de laquelle le président de la République arménienne Armen Sarkissian a officiellement reconduit N. Pachinian au poste de chef du gouvernement, s’est déroulée dans un climat houleux, l’opposition très minoritaire, résignée à ce statut depuis que la Cour constitutionnelle a rejeté sa procédure en appel visant à contester les résultats officiels des élections, ayant exprimé avec ostentation dans l’hémicycle, son hostilité au pouvoir en place. Selon les résultats officiels de l’élection publiés par la Commission électorale centrale, le Contrat civil a remporté le scrutin avec près de 54 % des suffrages, s’assurant ainsi 71 des 107 sièges que que compte le Parlement. Les deux seules formations d’opposition, l’alliance Hayastan (Arménie) de l’ex-président Robert Kotcharian et Pativ Unem (J’ai de l’honneur), celle co-dirigée par l’ex-président Serge Sarkissian et l’ancien chef du Service de sécurité nationale Artur Vanetsian en détiennent respectivement 29 et 7. Après avoir laissé planer le doute sur un éventuel boycott du Parlement, les formations d’opposition ont finalement participé à la séance inaugurale, avec la ferme intention de prendre leurs marques dans cette nouvelle législature et de faire front au parti gouvernemental, qui dispose d’une très confortable majorité vouant à l’échec toute initiative législative de l’opposition. Deux membres de l’alliance Hayastan élus dans le nouveau Parlement, Mkhitar Zakarian et Artur Sargsian, ont été arrêtés il y a trois semaines dans le cadre d’affaires judiciaires séparées dont ils récusent l’un et l’autre avec véhémence la légitimité. Maires de communes situées dans la province méridionale du Syounik, dont les zones frontalières sont soumises à forte pression de l’armée azérie depuis la défaite arménienne dans la guerre du Karabagh de l’automne 2020, ils sont coupables d’avoir ouvertement défié l’autorité du gouvernement de N. Pachinian dans les mois qui ont précédé leur arrestation, et plusieurs autres élus locaux ont subi un sort similaire. Ainsi, deux autres maires élus du Syounik affiliés à Hayastan avaient été arrêtés dans la foulée des législatives anticipées. Arborant des T-shirts blancs frappés des photos des quatres édiles du Syounik, les députés de l’alliance Hayastan ont désigné M.Zakarian et A. Sargsian comme des prisonniers politiques et des “otages” et ont exigé leur libération dès le lancement de la séance parlementaire. Les députés du bloc Pativ Unem ont joint leurs voix à ces demandes. Les députés de l’opposition soulignent que leurs collègues sont détenus en violation de l’Article 96 de la Constitution arménienne qui stipule qu’“un député ne saurait être privé de sa liberté sans le consentement de l’Assemblée nationale”. “MM. Zakarian et Sargsian ne sont pas absents [du Parlement] mais sont tenus en otages. Ils souhaitent participer à cette séance parlementaire au même titre que vous, mais ils n’y sont pas autorisés”, a ainsi déclaré un représentant de l’alliance Hayastan, Aram Vardevanian, dans un appel lancé à la majorité parlementaire. Vladimir Vartanian, une figure de proue du parti Contrat civil majoritaire, a balayé du revers de la main les demandes de l’opposition, en faisant valoir que MM. Zakarian et Sargsian avaient été arrêtés officiellement avant d’être investis du mandat de députés du Parlement et ne jouissaient de ce fait pas de l’immunité parlementaire. Le bureau du procureur général d’Arménie a fait écho à une telle approche dans un communiqué publié peu après. Afin d’accroître la pression sur les autorités, les députés de Hayastan et Pativ Unem ont décidé de nommer Zakarian et Sargsian aux postes de vice-président du Parlement au nom de leurs formations respectives. Ils ont aussi souligné que les deux représentants de l’opposition arrêtés devraient au moins se voir accorder le droit de se présenter dans l’hémicycle afin d’y répondre aux questions des autres parlementaires. “Nos collègues doivent se trouver ici et présenter leurs positions concernant leur nomination”, a expliqué un représentant de Hayastan, Artsvik Minasian, en ajoutant que sinon, l’opposition minoritaire tiendra l’élection du nouveau vice-président du Parlement pour “illégitime et illégale”. Indifférent à ces exigences, le parti Contrat civil a désigné Alen Simonian, un proche collaborateur de N. Pachinian et figure de proue du parti au pouvoir, pour occuper ce poste. L’opposition cherche d’autant plus à faire entendre sa voix qu’elle s’estime museler par un pouvoir dont la première mesure législative a été le vote d’un texte sanctionnant lourdement les insultes et la diffamation visant les personnalités publiques, mais plus précisément les représentants de l’Etat et du gouvernement. L’opposition s’estime directement visée par ce texte qui a aussi suscité une levée de boucliers dans les media, qui n’ont guère été rassurés par les commentaires de la vice-ministre de la justice, selon laquelle la critique sera tolérée… jusqu’à un certain point, laissant ainsi entendre qu’il reviendrait au gouvernement d’en fixer les limites ! Alors que le nouveau Parlement débutait ses activités avec cette première séance houleuse, le catholicos Karekine II lançait un appel à l’unité et à la solidarité « nationale et sociale ». Dans cet appel adressé en tout premier lieu aux acteurs politiques d’Arménie, mais aussi à la Diaspora, le chef de l’Eglise apostolique arménienne, qui n’a pas caché au cours des derniers mois, ses désaccords avec N.Pachinian, a prôné le consensus au sein de la vie politique et sociale des Arméniens, qu’il presse de mettre de côté leurs divergences au nom d’une union sacrée face à la menace de l’Azerbaïdjan.
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6.AFP
2 août 2021
par Kadir DEMIR
INCENDIES EN TURQUIE : L'UE ENVOIE TROIS CANADAIR, LE NOMBRE DE VICTIMES S’ÉLÈVE A HUIT
Marmaris (Turquie) (AFP) – L'Union européenne a envoyé trois avions bombardiers d'eau pour aider la Turquie dans sa lutte contre les incendies qui ravagent depuis six jours le sud du pays, faisant huit morts et accentuant la pression sur le président turc Recep Tayyip Erdogan critiqué pour sa gestion de la crise.
Mobilisés dans le cadre du Mécanisme de protection civile de l'Union européenne, deux Canadair de l'Espagne et un de la Croatie ont été envoyés pour aider la Turquie à combattre le feu.
"L'UE est en solidarité totale avec la Turquie en cette période très difficile. (…) Nos pensées vont au peuple turc qui a perdu des êtres chers et aux courageux premiers intervenants qui font de leur mieux pour lutter contre les incendies meurtriers", a affirmé dimanche soir le Commissaire européen à la gestion des crises, Janez Lenarcic, dans un communiqué.
Sur les 130 incendies qui se sont déclarés en six jours dans l'ensemble du pays, sept sont toujours actifs, a assuré lundi la Direction des Forêts, un organisme public turc.
– Des volontaires s'organisent –
Face à la progression du feu qui menace les villes d'Antalya, de Bodrum et de Marmaris (sud), des centaines de touristes et des habitants ont été évacués dimanche de leurs hôtels et domiciles.
Plus de 1.100 personnes ont été évacuées par bateau, a annoncé dimanche le maire de Bodrum Ahmet Aras, car les routes n'étaient pas praticables.
Dans plusieurs villes ravagées par les feux, des volontaires se sont organisés pour aider les plus de 4.000 pompiers qui luttent sur le terrain.
A Marmaris, des volontaires ont pris en charge la collecte et la distribution d'eau et de nourriture, ainsi que du matériel tel que des crèmes contre les brûlures ou des vêtements anti-feu.
"Alors qu'il y a ces incendies, beaucoup d'habitants de Marmaris, comme moi, ne peuvent s'endormir paisiblement. Nous devons éviter que notre avenir brûle", a affirmé Evran Ozkan, un volontaire de Marmaris à un journaliste de l'AFP sur place.
D'autres volontaires participent directement aux efforts pour maîtriser l'incendie.
"On essaie de défricher le terrain sous les feux. On coupe l'herbe, on nettoie. On aide aussi les pompiers à se déplacer dans la forêt avec leurs tuyaux", a expliqué Tevfik Kahraman, un autre volontaire à Marmaris.
– Critiques contre Erdogan –
La Turquie subit actuellement les pires incendies depuis au moins une décennie, selon des données officielles, avec près de 95.000 hectares brûlés jusqu'à présent en 2021, contre une moyenne de 13.516 à ce stade de l'année entre 2008 et 2020.
Le président Recep Tayyip Erdogan a été la cible de critiques lorsqu'il s'est avéré que la Turquie n'avait pas d'avions bombardiers d'eau alors que le problème des incendies s'aggrave dans ce pays où un tiers du territoire est boisé.
Le principal parti d'opposition, le CHP (Parti républicain du peuple, social-démocrate), a reproché au président turc d'avoir démantelé l'infrastructure d'une organisation semi-publique qui détenait des avions bombardiers d'eau.
Avant l'annonce de l'aide l'UE, la Turquie avait emprunté des avions bombardiers auprès de la Russie, l'Ukraine, l'Azerbaïdjan et l'Iran.
Deux incendies font aussi rage en Grèce voisine, sur l'île de Rhodes et dans le nord-ouest du Péloponnèse, alors que les températures caniculaires devaient dépasser les 40 degrés dans la journée.
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7.AFP
30 juillet 2021
TURQUIE : SEPT MORTS DANS UNE ATTAQUE CONTRE UNE FAMILLE KURDE
Ankara, 30 juil 2021 (AFP) – – Sept personnes, toutes membres d'une même famille kurde, ont été tuées vendredi dans une attaque armée dans leur maison à Konya (centre), un crime qualifié de raciste par des défenseurs des droits de l'homme.
Sept membres de la famille Dedeoglu ont été tués par des assaillants armés qui ont attaqué et tenté de brûler leur maison, ont rapporté les médias turcs.
Les membres de cette famille avaient déjà été grièvement blessés dans une autre attaque en mai dernier, commise par leurs voisins qui menaçaient de "ne pas laisser les Kurdes vivre ici", avait raconté mi-juillet un membre de cette cette famille qui a été tué vendredi, au journal en ligne Gazete Duvar.
Ce dernier s'était plaint de la bienveillance des policiers et des juges envers les assaillants et avait ajouté que tous les membres de la famille craignaient pour leur vie.
Selon l'avocat des victimes Abdurrahman Karabulut, la libération des auteurs de cette première attaque leur a donné un sentiment d'impunité.
"C'est une attaque entièrement raciste. (…) La justice et les autorités ont leur part de responsabilité dans ce qui est arrivé", a déclaré M. Karabulut sur la chaîne de télévision Arti TV.
"C'était un cas qu'on suivait. Le plus jeune de la famille m'avait dit : "Nous avons très peur", a réagi sur Twitter Eren Keskin, la vice-présidente de l'Association des droits de l'homme.
– "Aucun lien avec la question turco-kurde" –
Selon le ministre de l'Intérieur Süleyman Soylu, une hostilité ancienne de plusieurs années entre deux familles est derrière le drame.
Dénoncer les assassinats comme un crime raciste relève d'"une provocation", selon le ministre.
"Cette attaque n'a aucun lien avec la question turco-kurde. Faire un lien avec cela est aussi dangereux que l'attaque", a-t-il réagi vendredi soir devant les caméras.
Mais pour le Parti démocratique des peuples (HDP, prokurde), les assassinats à Konya font partie des attaques visant les Kurdes en hausse depuis quelques années.
"Nous avons été témoin à Konya d'un terrible exemple des attaques racistes qui continuent depuis un certain temps. Le discours de haine et de provocation du pouvoir est le principal responsable de ce massacre", a réagi vendredi soir le coprésident du HDP Mithat Sancar.
L'assassinat de sept personnes est la deuxième attaque meurtrière ayant visé les Kurdes à Konya en un mois.
Le 21 juillet dernier, un paysan kurde avait été tué dans un village de la région par des assaillants qui lui avaient auparavant affirmé : "Nous ne voulons pas de Kurdes ici", selon les déclarations des proches de la victime rapportées par les médias locaux.
La préfecture de Konya avait alors rejeté le caractère raciste du crime, précisant qu'il était survenu à la suite d'une dispute à cause de bétail entré dans des champs d'un autre village.
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8.Le Monde
2 août 2021
En Turquie comme en Grèce, canicules et incendies à répétition (lemonde.fr)
En Turquie comme en Grèce, canicules et incendies à répétition
L’Union européenne a envoyé trois bombardiers pour aider les pompiers turcs à maîtriser les feux, alors que près de 100 000 hectares sont partis en fumée depuis le début de l’année.
Des températures dépassant les 40 °C et des vents violents ont alimenté des centaines de feux de forêt autour du bassin méditerranéen du sud de l’Europe depuis une semaine, particulièrement en Grèce et en Turquie. Les évacuations de touristes et d’habitants se poursuivaient, lundi 2 août, alors même que l’Union européenne envoyait des renforts en Turquie, pays le plus touché, sous la forme de trois avions bombardiers.
« La pire canicule depuis 1987 » en Grèce
La Grèce vit actuellement « la pire canicule depuis 1987 », selon son premier ministre Kyriakos Mitsotakis, et celle-ci devrait durer encore quelques jours avec des températures prévues aux alentours des 45 °C en ce début de semaine, et des minimales qui ne devraient pas descendre en dessous de 26 °C.
Asséchées par la chaleur, les forêts grecques connaissent chaque été des incendies, mais ceux de 2021 sont particulièrement dévastateurs. Le risque d’incendie a, par ailleurs, été décrété à un niveau « très élevé » sur la majeure partie du pays, en particulier la région d’Athènes, le Péloponnèse, la Crète et les îles égéennes. D’après le système européen d’information sur les feux de forêt (Effis), 13 511 hectares sont partis en fumée depuis le début de l’année en Grèce.
Les deux plus importants incendies sont signalés dans le nord-ouest du Péloponnèse et sur l’île touristique de Rhodes. Le premier a entraîné l’évacuation de villages côtiers et la fermeture de plusieurs axes, dont l’autoroute qui relie Corinthe à Patras, troisième ville du pays, et le pont de Rio-Antirio reliant la péninsule à la Grèce continentale.
A Rhodes, la situation est en passe d’être maîtrisée, selon les autorités, qui affirment que l’incendie déclaré dimanche était en déclin, sous l’effet d’un renfort important des effectifs et des moyens de lutte contre le feu. « Le premier objectif, la protection de la vie humaine, a été atteint » et « les dégâts sur le réseau électrique ont été réparés », a dit le gouverneur de la mer Egée du Sud, George Chatzimarkos. Les pompiers ont quand même évacué, par précaution, la vallée des Papillons, une zone arborée du centre de cette île du Dodécanèse, qui attire traditionnellement les randonneurs et les touristes.
La chaleur dans le pays est telle que l’Acropole d’Athènes, d’habitude sillonnée par les touristes, a fermé ses portes pour l’après-midi. Les touristes trouveront portes closes l’après-midi, à partir de mardi et jusqu’à vendredi, sur tous les sites archéologiques en plein air de Grèce, a annoncé le ministère de la culture.
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9.Les Nouvelles d’Arménie
3 août 2021….