Le 3 juillet se sont clôturées les manœuvres militaires conjointes annuelles Aigle d’Anatolie, organisées sous la houlette d’Ankara. Y participaient le Pakistan, l’Azerbaïdjan et, pour la première fois, le Qatar. Or les pilotes de l’émirat sont venus avec leurs Rafale. Un Rafale dont les Grecs viennent d’acquérir dix-huit exemplaires.
Ces Rafale menaceraient la Turquie, & les pilotes de l'armée de l'air turque connaîtraient trop superficiellement le Rafale de Dassault : l'occasion pour les ingénieurs turcs de jeter un œil sous la carlingue.
«Ils volent des secrets sur le Rafale» titre-t-on côté grec. Les Turcs profiteraient de la venue des Rafale qataris pour subtiliser des informations classifiées sur l’appareil français. Une accusation qui serait «une manifestation vivante de la politique grecque», «constamment voir de l'hostilité dans toutes les actions» de la Turquie, plaide le colonel turc à la retraite Gürsel Tokmakoğlu.
sources : Le Point , IRIS,le quotidien Ta Nea , Sputnik Turquie