L’ambassadeur de France en Arménie ,SEM Jonathan Lacôte et le directeur Olivier Brochet de l' AEFE
(Agence of French Éducation Abroad ) ont inauguré le 14 Juin les nouveaux locaux du Lycée Anatole France à Erevan (prononcer Yérévan)
a annoncé l’ambassade française en Arménie .
Le ministre arménien de l’Education, des sciences , du sport et de la culture, Arthur Martyrosyan, a assisté à l’inauguration, également .
Ce bâtiment a été offert par le gouvernement arménien pour accueillir plus d'étudiants expatriés ou d'Arméniens
qui sont déjà majoritaires.
L école aura une nouvelle administration à partir du premier Septembre 2021.
Le Lycée Anatole France fait partie d’un groupe mondial qui est présent dans 139 pays .
Le lycée est la seule école fondée en 2007 .
Il compte 260 élèves âgés de 2 à 18 ans .
Le niveau d éducation est accepté par le ministère national de l’Education .
Le complexe a un département d'école secondaire approuvé par le ministère de l’Education d’ Arménie.
Lily Sagherian
Sources Massis Juin 19 ,2021, armenews, ambassade de France en Arménie
photo : domaine public
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Anatole France, pour l'état civil François Anatole Thibault1, né le à Paris et mort le à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire), est un écrivain français, considéré comme l’un des plus grands de l'époque de la Troisième République, dont il a également été un des plus importants critiques littéraires.
Il devient une des consciences les plus significatives de son temps en s’engageant en faveur de nombreuses causes sociales et politiques du début du xxe siècle2.
Il reçoit le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre en 1921.
Devenu un écrivain reconnu, influent et riche, France s’engage en faveur de nombreuses causes. Il tient plusieurs discours dénonçant le génocide arménien13 et soutient Archag Tchobanian, rejoint Émile Zola, avec qui il s’est réconcilié au début des années 1890, lors de l'affaire Dreyfus.
Sa tombe, abandonnée et en piteux état, fut sauvée en 2000, par l'historien Frédéric de Berthier de Grandry, résidant alors à Neuilly-sur-Seine ; cette procédure de sauvegarde sauve également la chapelle funéraire de Pierre Puvis de Chavannes, le peintre du Panthéon de Paris.
La maison d'Anatole France, 5 Villa Saïd, Paris. 1894-1924.
Après avoir refusé de se prononcer sur la culpabilité d'Alfred Dreyfus (ce qui le classe parmi les révisionnistes), dans un entretien accordé à L'Aurore le , il est l'un des deux premiers avec Zola à signer, au lendemain de la publication de J'accuse, en , quasiment seul à l’Académie française, la première pétition dite « des intellectuels » demandant la révision du procès. Il dépose, le , comme témoin de moralité lors du procès Zola (il prononcera un discours lors des obsèques de l'écrivain, le ), quitte L'Écho de Paris, anti-révisionniste, en , et rejoint le suivant Le Figaro, conservateur et catholique, mais dreyfusard.
Il servit de modèle, avec Paul Bourget, pour créer l'homme de lettres Bergotte dans l'œuvre de Proust, À la recherche du temps perdu.
En , il rend sa Légion d'honneur, après que l'on eut retiré celle d'Émile Zola et, de février 1900 à 1916, refuse de siéger à l'Académie française. Il participe à la fondation de la Ligue des droits de l'Homme, dont il rejoint le Comité central en , après la démission de Joseph Reinach, scandalisé par l'affaire des fiches14. Son engagement dreyfusard se retrouve dans les quatre tomes de son Histoire contemporaine (1897 – 1901), chronique des mesquineries et des ridicules d’une préfecture de province au temps de l’Affaire. C’est dans cette œuvre qu’il forge les termes xénophobe et trublion…
source wikipedia