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Lors de la visite du Premier ministre dans la région d’Ararat, la question de la remise de Tigranachen à l’Azerbaïdjan n’a pas été abordée
L’Administration de la région de l’Ararat a publié une déclaration indiquant que les informations de certains médias selon lesquelles la question de la remise du village de Tigranachen -proche du Nakhitchevan- à l’Azerbaïdjan dans un proche avenir a été discutée lors de la visite du Premier ministre Nikol Pachinian dans la région d’Ararat le 3 février ne correspondent pas à la vérité.
« Au cours de la visite, les questions liées aux programmes économiques dans la région ont été exclusivement débattues. Des discussions qui ont été présentées précédemment dans un communiqué officiel. Veuillez ne plus diffuser une telle désinformation à partir de maintenant, ne pas servir les intérêts des ennemis internes et externes » a rapporté l’administration régionale d’Ararat.
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2. Nor Haratch Hebdo
05/02/2021
Le ministre des Finances minimise l'importance de la dette croissante de l'Arménie
Le ministre des Finances, Atom Janjoughazian, a reconnu jeudi que la dette publique croissante de l'Arménie était une source de préoccupation, mais a insisté sur le fait que le gouvernement pouvait l'amener à un « niveau plus gérable ».
La dette a augmenté de 647 millions de dollars, à près de 8 milliards de dollars, au cours de 2020 dans un contexte de forte récession principalement causée par la pandémie de coronavirus. Selon les projections du gouvernement, il dépassera probablement la barre des 9 milliards de dollars d'ici la fin de cette année.
« Il serait étrange que l'organe chargé de la gestion de la dette publique ne se préoccupe pas [de l’augmentation de la dette] », a déclaré Janjoughazian aux journalistes après une réunion hebdomadaire du gouvernement à Erevan.
Selon lui, la dette équivaudra à environ 70% du produit intérieur brut (PIB) si l'économie arménienne croît en 2021 à un taux de 3,2% prévu par le gouvernement. Une croissance économique plus lente, anticipée par la Banque centrale du pays et le Fonds monétaire international (FMI), se traduirait par un ratio dette/PIB plus élevé.
« En règle générale, pour les pays en développement, un ratio dette/PIB supérieur à 70% est considéré comme un niveau de risque élevé ou au moins moyen lorsqu'il n'est pas clair… comment les autorités prévoient de le ramener à un niveau plus gérable », a dit Janjoughazian.
« Nous devons tout mettre en oeuvre pour revenir à ce niveau. Il ne faut pas penser à réduire la dette en termes absolus mais à accélérer la croissance du PIB, ce qui fait partie de nos programmes », a ajouté le ministre.
Tao Zhang, directeur général adjoint du FMI, avait déclaré en décembre que les autorités arméniennes « restaient déterminées à prendre des mesures pour préserver la viabilité de la dette ». La dette arménienne devrait tomber à environ 60% du PIB « à moyen terme» à la suite de ces mesures, avait-t-il déclaré dans un communiqué.
La dette a encore augmenté la semaine dernière après que l'Arménie ait émis sa quatrième euro-obligations d'une valeur de 750 millions de dollars. Janjoughazian a confirmé que cet argent sera principalement utilisé pour couvrir le déficit budgétaire du gouvernement pour 2021, projeté à 341 milliards de drams (658 millions de dollars), soit au moins 5,3% du PIB.
S'exprimant lors de la réunion du cabinet de jeudi, le Premier ministre Nikol Pachinian a vanté le fait que les obligations à 10 ans libellées en dollars ont été vendues à un rendement record de 3,9% en raison du fort intérêt des investisseurs étrangers.
« C'est certainement un signal très important pour notre économie. Une garantie de stabilité macroéconomique a ainsi été créée », a affirmé Pachinian.
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3. Nor Haratch Hebdo
05/02/2021
L'ambassadeur russe en Arménie rencontre Serge Sarkissian
L'ambassadeur de Russie en Arménie, Sergueï Kopyrkine, aurait rencontré mercredi l'ancien président Serge Sarkissian pour discuter des développements politiques en Arménie et du conflit du Haut-Karabagh.
Armen Achotian, vice-président du Parti républicain d'Arménie (PRA), a déclaré jeudi que la réunion avait eu lieu « à l'initiative de la partie russe ».
Selon lui, Sarkissian a remercié la Russie pour avoir aidé à maintenir le régime de cessez-le-feu dans la zone de conflit et fourni une aide humanitaire au Karabagh.
L'ancien président aurait également souligné l'importance d'une implication continue de la Russie dans les efforts internationaux pour parvenir à un « règlement pacifique final » du conflit du Haut-Karabagh, a écrit Achotian sur Facebook.
« À la demande de l'ambassadeur, le président Sarkissian a abordé des questions relatives à la situation politique interne ainsi que les nouvelles réalités géopolitiques dans la région », a-t-il déclaré, ajoutant que Kopyrkine a présenté les positions de Moscou sur les questions discutées par les deux hommes. Il n'a donné aucun autre détail.
La conversation est intervenue un jour après que Sarkissian et plusieurs autres dirigeants d'une alliance d'opposition arménienne se soient rencontrés pour discuter de leurs efforts conjoints pour forcer le Premier ministre Nikol Pachinian. L'ancien président Robert Kotcharian, un autre critique acerbe de Pachinian, était également présent.
Deux de ces dirigeants ont déclaré mercredi que l'alliance appelée « Mouvement pour le salut de la patrie » reprendrait bientôt les manifestations anti-gouvernementales.
Pendant ce temps, Kotcharian devait se rendre à Moscou pour la deuxième fois en moins de deux mois. Une porte-parole de l'ex-président a déclaré qu'il assisterait à une réunion du conseil d'administration d'une grande entreprise russe.
Kopyrkine a rencontré un autre ancien président arménien, Levon Ter-Petrossian, le 25 janvier. Une porte-parole de Ter-Petrossian a déclaré que la réunion était centrée sur la situation actuelle dans la zone de conflit du Karabagh.
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4. Nor Haratch Hebdo
04/02/2021
L'Armée de défense d'Artsakh ne sera pas dissoute, affirme Balassanian
Le secrétaire du Conseil de sécurité d'Artsakh, Vitaly Balassanian, a démenti les informations circulant sur les réseaux sociaux selon lesquelles l'Armée de défense du pays serait dissoute. Au contraire, a-t-il déclaré, le gouvernement de l'Artsakh travaillait actuellement à « la formation d'unités professionnelles sur une base contractuelle ».
« Des rumeurs circulent selon lesquelles des drapeaux de l'État azerbaïdjanais seraient installés sur les bâtiments gouvernementaux sur la place de la Renaissance dans la ville de Stepanakert. Je trouve nécessaire de nier catégoriquement ces rapports. Certains médias et comptes de médias sociaux font circuler des rapports affirmant que l'Armée de défense d'Artsakh sera dissoute et, selon la logique de ces rapports, il n'y aura pas d'organisation de protection des frontières de l'Artsakh. À cet égard, je voudrais informer le public que les organes gouvernementaux de l'Artsakh travaillent maintenant à la formation d'unités professionnelles sur une base contractuelle pour la protection de nos frontières », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Balassanian a réaffirmé que le gouvernement de l'Artsakh s'était toujours engagé à remplir « ses devoirs d'assurer la sécurité et une vie normale de la population »
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5. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
Les autorités azéries continuent de bloquer les opérations de recherche des soldats Arméniens disparus
Les équipes de recherche et de sauvetage d’Artsakh sont incapables de reprendre leurs opérations pour trouver des victimes de la guerre de 2020 car les autorités azerbaïdjanaises continuent d’interdire les opérations pour des raisons inconnues.
Le 3 février, les autorités azéries ont interdit indéfiniment aux sauveteurs d’Artsakh de reprendre leurs opérations sans donner aucune explication.
Le 4 février, le service de sauvetage d’Artsakh a déclaré que les autorités azéries ne leur permettaient pas de travailler en raison des « divers types de travaux que les Azéris mettent en œuvre dans les colonies qui sont passées sous leur contrôle ».
Depuis le 13 novembre 2020 – jour du début des opérations de recherche des corps des morts les autorités de l’Artsakh ont retrouvé les restes de 1355 personnes. Selon des informations préliminaires, 15 des 1355 victimes étaient des civils, tandis que les 1340 restants étaient des militaires.
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6. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
La Russie estime que la mission d’évaluation de l’UNESCO se rendra au Haut-Karabagh dans un proche avenir
Moscou s’attend à ce que la mission d’évaluation préliminaire de l’UNESCO se rende au Haut-Karabakh et dans ses environs dans un proche avenir, a déclaré jeudi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.
« Pour autant que je sache, des négociations sont en cours pour organiser une telle visite. Nous espérons qu’il aura lieu dans un proche avenir, contribuera au renforcement de la confiance mutuelle dans la région » a déclaré Maria Zakharova la porte-parole de la diplomatie russe.
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7. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
Un second tremblement de terre s’est produit à minuit dans la région de Gegharkunik et Tavouch en Arménie
Samedi 6 février à 00h06 heure locale (heure de Greenwich le 5 février à 20h06), le réseau sismologique du Service de protection sismique territoriale du ministère des Situations d’urgence d’Arménie a enregistré 45,32 de latitude nord 40,53 de longitude est à 5 km au nord-est du village de Chorja en Arménie, un second séisme vient de se produire. Le tremblement de terre d’une magnitude de 3,7 était à 10 km de profondeur avec une puissance de 5 degrés dans son épicentre.
Le tremblement de terre a été ressenti dans les régions de Gegharkunik et Tavouch avec une magnitude de 4-5. En fin de soirée du vendredi 5 février, à 19:36 heure locale (15:36 Greenwich Mean Time), le réseau sismologique d’Arménie avait enregistré avec pour épicentre à 5 km au nord-est du village de Chorja en Arménie (région de Gegharkunik) un séisme de magnitude 4,7 dont l’épicentre était à 10 km de profondeur avec une magnitude de 6-7. Un séisme qui avait été ressenti dans de nombreuses régions d’Arménie et même à Erévan la capitale arménienne.
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8. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
L’Arménie est prête à coopérer étroitement avec les partenaires d’intégration affirme Nikol Pachinian
L’Arménie participe traditionnellement activement et soutient le processus de création et de mise en œuvre de l’agenda numérique de l’Union économique euroasienne. A Almaty (Kazakhstan), le Premier ministre arménien Nikol Pachinian l’a mentionné dans son discours lors de la séance du Conseil intergouvernemental de l’UEE.
« Nous nous félicitons de la tenue de la Conférence numérique dans le cadre de la session d’aujourd’hui, à laquelle j’ai volontiers participé. Je suis convaincu que la conférence d’aujourd’hui apportera une contribution significative à la détermination des boîtes à outils efficaces pour notre coopération de haute technologie dans nos pays. Dans le cadre de ce sujet, je voudrais noter avec satisfaction le lancement réussi du programme pilote de l’application mobile « Voyager sans COVID-19 ». Ce projet, lancé le 1er février, nous a permis de trouver des solutions mutuellement acceptables au problème du transport direct entre l’Arménie, la Biélorussie et la Russie, qui est d’une grande importance sociale et économique pour notre pays » a déclaré Nikol Pachinian. Le Premier ministre de la République d’Arménie a noté que ce projet pourrait également faire partie des mesures prises pour lutter contre l’épidémie en termes de réduction du risque de propagation du coronavirus. Abordant d’autres sujets, le Premier ministre arménien a noté que l’amélioration des mécanismes d’application des mesures spéciales de protection, antidumping et compensatoires dans l’UEE peut être effectivement lancée pour protéger les producteurs nationaux de l’impact négatif des importations croissantes en provenance de pays tiers ou concurrence déloyale. Nikol Pachinian a souligné que la partie arménienne est prête à travailler en étroite collaboration avec ses partenaires d’intégration pour trouver des moyens de développer une approche commune de l’application de ces mesures. Nikol Pachinian considère également qu’il est nécessaire d’envisager la possibilité de développer et de mettre en œuvre un mécanisme de mesures de réponse sur le territoire de l’UEE conformément aux accords internationaux existants. « Nous soutenons pleinement les évaluations et les conclusions présentées dans le rapport" Sur la situation macroéconomique dans les États membres de l’UEE – propositions pour un développement économique durable. Je suis sûr qu’ils sont utiles du point de vue de l’analyse de la situation financière et économique de nos pays et de la prédiction des directions de son mouvement ». « Enfin, je voudrais vous remercier pour l’approche constructive adoptée par les pays de l’UEE à l’initiative de l’Arménie de revoir la liste des pays utilisant le système commun de privilèges tarifaires. Je voudrais noter avec satisfaction que la question de l’octroi de privilèges tarifaires pour les biens et services des pays en développement, qui sont moins développés, a déjà été inscrite à l’ordre du jour de notre organisation et sera résolue dans un proche avenir sur la base des normes que nous ont adopté », a ajouté Nikol Pachinian.
Il est au centre de la discussion des représentants des États membres de l’UEE
La question de l’élimination des barrières dans le marché intérieur de l’Union économique eurasienne, les approches pour l’amélioration des mécanismes d’application des mesures antidumping et compensatoires, la situation macroéconomique, les propositions pour le développement économique durable des pays de l’Union. Il est prévu d’approuver la procédure de coordination du processus de sélection et d’analyse dans le secteur de l’élevage dans les États membres. Selon le Premier ministre kazakh Askar Mamin, différentes orientations seront essentielles au cours de leur présidence, sur la base de l’expérience de l’UEE. « L’accès au marché commun de l’UEE devient très nécessaire. Des efforts peuvent être faits pour rationaliser la circulation fluide des marchandises. Je voudrais à nouveau mettre l’accent sur l’agenda de la numérisation. "Il est nécessaire de promouvoir les initiatives numériques, révélant le potentiel existant » a déclaré le Premier ministre du Kazakhstan. Pratiquant la coopération avec les pays tiers et les organisations internationales de l’Union, Askar Mamin a noté qu’il est nécessaire d’agir activement dans ce sens.
Le 1er janvier 2021, le Kazakhstan a assumé la présidence de l’Union économique eurasienne. L’Union économique eurasienne est une organisation internationale d’intégration économique régionale dotée de la personnalité juridique internationale, établie par le Traité sur l’Union économique eurasienne, signé en 2014. Né le 29 mai à Astana en 2013. Le 3 septembre 2010, le président de la République d’Arménie Serge Sargsyan a annoncé la décision d’Arménie d’adhérer à l’Union douanière, de prendre les mesures pratiques nécessaires à cet effet, puis de participer à la formation de l’Union économique eurasienne.
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9. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
Le Premier ministre a rencontré son homologue kirghize à Almaty
Le Premier ministre Nikol Pachinian, qui effectue une visite de travail en République du Kazakhstan, a rencontré le Premier ministre du Kirghizistan, Ulukbek Maripov, dans la matinée du 5 février, a déclaré le bureau de presse du Premier ministre arménien.
Nikol Pachinian a félicité Ulukbek Maripov pour sa nomination au poste de Premier ministre du Kirghizistan et lui a souhaité plein succès dans ses activités. Le Premier ministre arménien a déclaré que l’Arménie et le Kirghizistan se vantaient d’une coopération étroite dans des formats bilatéraux et multilatéraux dans le cadre des unions d’intégration. Dans ce contexte, il a souligné que notre pays était intéressé par l’approfondissement des relations de coopération.
Le Premier ministre du Kirghizistan a remercié le Premier ministre de la République d’Arménie pour ses aimables remarques, soulignant que son pays attache une grande importance au partenariat plus étroit avec l’Arménie. Selon lui, les deux pays entretiennent traditionnellement des relations chaleureuses et des efforts supplémentaires devraient être faits pour approfondir la coopération, y compris dans les domaines commercial, économique et culturel et humanitaire.
Soulignant le haut niveau actuel de dialogue politique, les parties ont réaffirmé leur volonté de renforcer encore les relations bilatérales.
Nikol Pachinian et Ulukbek Maripov ont échangé leurs points de vue sur le développement de la coopération commerciale et économique. Dans ce contexte, ils ont évoqué les opportunités qui peuvent être créées suite à la réouverture des communications de transport dans la région et les perspectives de développement des infrastructures. Des informations et des vues ont été échangées sur les mesures en cours pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Les parties sont convenues d’intensifier les contacts mutuels de haut niveau parallèlement à la stabilisation de la situation épidémiologique.
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10. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
Le ministre arménien des Affaires étrangères et son homologue luxembourgeois ont évoqué la situation humanitaire en Artsakh
Le ministre arménien des Affaires étrangères Ara Ayvazyan, a discuté de la situation humanitaire en Artsakh avec le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, Jean Asselborn. Information du ministre des Affaires étrangères d’Arménie.
« Les ministres des Affaires étrangères ont échangé leurs points de vue sur les questions liées à l’agenda bilatéral, exprimant leur volonté mutuelle de prendre des mesures pratiques pour maintenir la dynamique actuelle. Les deux parties ont souligné avec satisfaction la coopération efficace établie sur la scène internationale » indique le communiqué. Dans le contexte des questions liées à la sécurité et à la stabilité régionale, Ara Ayvazyan a présenté à son homologue la situation humanitaire en Artsakh en raison de l’agression de l’Azerbaïdjan. Le ministre arménien des Affaires étrangères a remercié Jean Asselborn pour la position de principe du Luxembourg pendant la guerre et l’assistance humanitaire fournie aux Arméniens d’Artsakh par le biais du Comité international de la Croix-Rouge.
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11. Les Nouvelles d'Arménie
05/02/2021
Le Commission des affaires étrangères du Parlement tchèque a appelé l’Azerbaïdjan à libérer les prisonniers de guerre Arméniens
La Commission des affaires étrangères du Parlement tchèque a adopté une résolution sur le conflit du Haut-Karabagh, appelant l’Azerbaïdjan à libérer les prisonniers de guerre et civils Arméniens.
L’ambassade de la République d’Arménie à Prague informe à ce sujet. « Le 4 février, la commission des affaires étrangères de la Chambre des députés tchèque a adopté une résolution sur le conflit du Haut-Karabagh, qui a salué le cessez-le-feu et a exprimé ses regrets face au non-respect par l’Azerbaïdjan de la clause de cessez-le-feu ».
Dans le même temps, le Comité a appelé à un règlement politique du conflit dans le cadre des coprésidents du Groupe de Minsk de l’OSCE.
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12. Le Point
04/02/2021
Les Nouvelles Guerres secrètes
Géopolitique. Dans le Prophète et la Pandémie (Gallimard), le chercheur Gilles Kepel montre que la crise mondiale du Covid a occulté les recompositions, qui de la Turquie à Israël, ont secoué le Moyen-Orient en 2020. Et entraîné un "djihadisme d'atmosphère" en France.
Voir l'article en pièce jointe.
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13. Nor Haratch Hebdo
04/02/2021
Le CCAF condamne les manoeuvres visant à faire abolir la loi de reconnaissance du génocide des ArméniensLe CCAF condamne avec la plus grande fermeté les dernières manoeuvres visant à faire abolir la loi de reconnaissance du génocide des Arméniens, promulguée il y a 20 ans le 29 janvier 2001. La QPC que déposera Maitre Pardo devant la 17e chambre correctionnelle de Paris contre ce texte le jeudi 4 février, représente une nouvelle tentative des milieux proches de l'État turc de servir ses agissements négationnistes, qui constituent le volet politique de l'entreprise d'extermination.
La reconnaissance par la France du génocide arménien comme celle opérée par 27 autres parlements ( Allemagne, Canada, Etats-Unis, Russie, etc) et institutions (Parlement européen, sous commission des droits de l'homme de l'ONU, etc.), relève du devoir de mémoire à l'égard du million et demi d'Arméniens massacrés sur ordre du gouvernement « Jeunes Turcs » en 1915. Elle constitue un hommage à l'endroit des victimes du premier génocide du XXe siècle, dont le souvenir n'a cessé d'être bafoué par les gouvernements turcs successifs. Elle participe en outre de la prévention contre les crimes contre l'Humanité, alors que l'État Turc continue jusqu'à aujourd'hui à tirer les dividendes politiques et économiques de l'annihilation physique des Arméniens et des chrétiens du pays dont il est le complice et le receleur.
Le CCAF dénonce de surcroit le harcèlement judiciaire pratiqué par Monsieur Maxime Gauin contre des militants et journalistes engagés dans la cause arménienne. Il apporte tout son soutien à Ara Toranian et Laurent Leylekian, poursuivis pour avoir respectivement publié et relayé un tweet du député socialiste suisse Carlo Sommaruga, qui avait qualifié M.Gauin de « négationniste du génocide arménien » et de « suppôt du pouvoir turc ». Le CCAF voit dans la configuration de ce procès l'une des conséquences de la censure du Conseil Constitutionnel sur la loi Boyer (2012) et sur la loi Kanner (2016), deux textes qui rendaient possible la poursuite des négationnistes du génocide des Arméniens à l'instar de ceux des autres génocides du XXe siècle. Au lieu de quoi nous assistons aujourd'hui à cette inversion des rôles qui voit un défenseur des thèses turques se poser en accusateur et les descendants des victimes déférés au banc des accusés.
Après les violences racistes contre les Français d'origine arménienne l'été dernier à Décines, à Vienne et à Dijon, cet insupportable procès appelle une mise à jour rapide de la législation du pays en ce qui concerne la répression du négationnisme, en particulier lorsqu'il est promu sur le sol national par des officines d'un État étranger.
Bureau national du CCAF
Paris, le 3 février
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14. Les Nouvelles d'Arménie
03/02/2021
Le consul général arménien et le chef du Kurdistan irakien discutent de la situation dans la région
Le président du Kurdistan irakien Masoud Barzani a discuté de la situation dans la région avec le consul général d’Arménie à Erbil Arshak Manukyan, rapporte Shafak.
Au cours de la réunion, le consul général arménien a hautement apprécié les efforts de M. Barzani dans la lutte pour la liberté et les droits du peuple du Kurdistan. Les parties ont souligné l’importance d’élargir les relations entre le Kurdistan irakien et l’Arménie. Le 13 mars 2017, le président arménien a signé un décret portant création du consulat général d’Arménie à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien. Le consulat a ouvert déjà en 2020.
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15. Les Nouvelles d'Arménie
04/02/2021
L’Arménie condamne fermement la politique d’appropriation illicite du patrimoine culturel arménien en Turquie
L’Arménie condamne fermement la politique de destruction systématique et d’appropriation illicite du patrimoine culturel arménien par les autorités turques, a déclaré la porte-parole du ministère arménien des Affaires étrangères Anna Naghdalyan.
Les commentaires font suite aux reportages des médias turcs sur la vente et la destruction d’églises arméniennes en Turquie. Il existe de nombreux faits sur la destruction des églises et des tombes chrétiennes, qui ne reçoivent aucune réponse des organes compétents de Turquie.
« Nous connaissons les rapports des médias turcs sur la vente d’églises arméniennes en Turquie. En particulier, l’Église arménienne catholique du district de Sebtash à Bursa a été mise en vente pour 6 millions de livres turques, tandis qu’une autre église arménienne de Bursa a été mise en vente pour 6,3 millions de livres turques. De plus, l’église arménienne St. Toros, dans la province de Kutahya, à l’ouest de la Turquie, a été détruite », a déclaré Anna Naghdalyan.
« Nous condamnons fermement la politique de destruction systématique et d’appropriation illicite du patrimoine culturel arménien par les autorités turques qui a pris un nouvel élan, et exhortons la Turquie à respecter strictement ses obligations en vertu des accords internationaux », a-t-elle ajouté.
Le porte-parole a noté que les appels à la coopération pour la paix et la stabilité régionales par un État qui démontre une telle attitude envers les monuments historiques et culturels ne peuvent au moins être crédibles.
Faisant référence au « conseil » du ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu à l’Arménie de « tirer des leçons de l’histoire », Anna Naghdalyan a déclaré que « personne n’a le droit de parler de manière irrespectueuse avec le langage de la menace et de donner des leçons d’histoire à une nation qui a survécu à un génocide ».
« Les autorités turques doivent clairement comprendre qu’un environnement de confiance pertinent est nécessaire pour un dialogue, et la destruction du patrimoine historique et culturel arménien ne contribue certainement pas à la création d’un tel environnement », a conclu la porte-parole.
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16. Nor Haratch Hebdo
04/02/2021
La relance des vols réguliers avec la Russie contribuera au développement du tourisme, selon PachinianAujourd'hui, lors d'une réunion du gouvernement, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian, évoquant le projet « Je voyage sans COVID-19 » et son processus de mise en oeuvre, a déclaré qu'un grand flux de personnes arrivant en Arménie a été observé depuis le lancement du programme.
« C'est un facteur économique car au cours de l'année écoulée, nombre de nos compatriotes qui souhaitaient visiter l'Arménie n'ont pas eu cette opportunité et maintenant, lorsque la communication aérienne avec la Russie aura repris, on s'attend à ce que nos compatriotes arrivent en Arménie », a dit Pachinian, affirmant que la reprise des vols réguliers avec la Russie contribuera au développement du tourisme.
Le vice-Premier ministre Mher Grigorian a précisé que le modèle de voyage sur lequel ils avaient convenu avec les partenaires russes et biélorusses était un projet pilote d'un mois, mais selon une décision adoptée hier, cette restriction d'un mois a été supprimée. « À partir du 15 février, nous aurons quatre vols par semaine dans les deux sens. Au cours de ces trois jours, 3 900 personnes ont quitté l'Arménie et 3 400 sont arrivées en Arménie », a-t-il dit, ajoutant que le nombre de personnes qui sont parties avec un passeport arménien était de 1423 et le nombre de celles qui sont arrivées en Arménie avec un passeport arménien était de 1263.
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17. Nor Haratch Hebdo
04/02/2021
Covid-19 : l'Arménie « prête » à acheter le vaccin russe Spoutnik V
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