Le président Erdogan , avant de devenir le sultan de l’empire ottoman , doit réviser sa géographie : il confond le Nakhitchevan avec le Haut-Karabagh

En plein conflit arméno-azéri, le vice-ministre azéri de la

Défense et chef de l'armée de l'air, Ramiz Tahirov bien

loin de diriger les opérations militaires depuis Bakou, était

à Ankara le 16 juillet et s'est entretenu avec le ministre turc

de la Défense, Hulusi Akar.

 

L'ordre du jour"l'agression arménienne" a permis au ministre turc de rappeler la solidarité entre "deux pays  qui

forment un seul peuple".

 

Les deux ministres n'ont pas relevé que le déroulement du conflit était dirigé par Ankara. Les drones turcs seraient-ils

plus efficaces que ceux d'Israel  (un de 30 millions de $ a été abattu par les forces d'auto-défense de l'Arménie) ? Leurs  usages futurs  sont a surveiller.

 

Pendant ce temps le président Erdogan, à la sortie de la

prière du vendredi, condamne "l'agression armenienne"

contre l'Azerbaidjan et confondant sa géographie, annonce

des représailles contre l'Arménie qui "occupe le Nakhi-

tchevan". (c'est l'Azerbaïdjan qui l'occupe! dont l'armée y a détruit des milliers de "croix de pierre", ndlr)

 

Une "menace" plus sérieuse émane du porte parole  du

ministère de la Défense à Bakou (capitale de l'Azerbaïdjan, ndlr) qui envisage de bombarder

la centrale nucléaire de Medzamor, en Arménie,  située  à