L’or flambe puis recule à 1667 $ l’once , le baril de pétrole de la Mer du Nord = 25 $, le E-95 à la pompe à Paris=1, 59 € , 1€ = 1,14 $
Téléconsultations (Doctolib, Chesmesdocteurs,Mediaviz, MedecinDirect ) en hausse de 40%
La Banque de France a baissé sa prévision de croissance à 0,1% .
Dans la débâcle générale des marchés, l’or a tiré son épingle du jeu . L’once de métal jaune s’est hissée à plus de 1 689 dollars, un sommet depuis plus de 7 ans.
Comme toujours l’or profite de son rôle de valeur refuge. Le métal jaune c'est l'’ultime abri face à la propagation de l’épidémie de coronavirus.
Les investisseurs sont méfiants à l’égard du yen, l’autre grande valeur refuge, vu la proximité du Japon avec l’épicentre de l’épidémie.
L’inquiétude liée au coronavirus n’est pas le seul vecteur de la hausse de l’or. Depuis 2019, l’once s’est envolée de plus de 30 %.
Avec les taux négatifs qui se sont répandus, certaines obligations gouvernementales sont devenues une charge pour les investisseurs. Ces derniers préfèrent investir dans l’or qui n’offre par nature aucun rendement.
Les cours de l’or sont soutenus par des achats des banques centrales de pays, comme la Chine ou la Russie, qui réduisent leur dépendance au dollar US.
Des spécialistes ont dans leur viseur le record historique de 1 900 dollars l’once, en 2011, lors de la crise des dettes souveraines en Europe.
Sur les marchés d’actions, les compagnies minières étaient parmi les très rares valeurs en hausse. À Wall Street, dans un marché en baisse de plus de 3 %, Newmont avançait de 2,8 % et l’action Barrick progressait de 3 %.