L’eau de mer qui se boît , Il en avait rêvé : Odeep One l’a fait

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Mon père me disait : 'déssaler l'eau de mer pour la rendre potable , voilà ce que tu dois étudier'.

Une semaine avant , une première bouteille sortait des entrailles d’Odeep One, nouveau bateau-usine français, à environ 200 kilomètres au large de Marseille.

Dans la bouteille : de l’eau… de mer .

Elle a été passée par des traitements naturels pour retirer le sel.

Un goût classique, frais, et doux à la fin. 

Le "capitaine du bateau" est un ingénieur passé par la Marine marchande et le conseil dans le domaine de l’offshore,  l’armement maritime, avec un projet innovant et industriel : pomper, traiter et embouteiller de l’eau de mer, potable et bonne, à bord du même navire.

 
Pour des financements , à partir de 2013, le créateur sollicite Bpifrance.L’entrepreneur compare son projet avec certaines entreprises technologiques moins prometteuses, et pourtant subventionnées: «nous, on était dans le dur, l’industrie, avec de l’innovation technique et des métiers nouveaux"

Mais c’est  l’innovation qui écarte les aides publiques, malgré les présentations & les interlocuteurs. Le modèle d’entreprise est inclassable et incomparable :«La BPI nous a fait perdre cinq ans» mais «orienté la société vers des établissements spécialisés dans le financement de projets d’infrastructure, dans le domaine maritime».

OFW lève trois millions d’euros auprès de réseaux privés et fonde le premier armateur français (depuis la compagnie du Ponant en 1984).

sources : Le Figaro , BPi Frnace , Ocean Fresh Water,

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