600 000 décès par an, en France , un marché de 2,5 milliards

Edeneo protége les données précieuses et les dernières volontés en les transférant vers un coffre-fort numérique,dont le stockage est limité à 2Go, pour deux offres : annuelle – pour 29,90 euros, ou à vie pour 299 euros.

Au décès, le coffre-fort numérique sera déverrouillé et toutes les données seront transmises aux personnes enregistrées au début.

● Advitam pompes funèbres,veut simplifier les démarches  et rendre les cérémonies plus accessibles avec des tarifs inférieurs aux prix de marché, et l'info sur les différentes aides, méconnues, disponibles.

Une récente levée de fonds d'1,8 million sécurise la société.

a start-up Elicci propose aux familles en deuil de choisir des instrumentistes et chanteurs pour interpréter les musiques de leur choix lors de la cérémonie d'obsèques, afin d'y «apporter une touche de beauté». Avec une cinquantaine de musiciens dans chaque ville qu'elle couvre (Paris, Lyon, Lille, Toulouse et Nice), la start-up fondée en 2014 par Aliette Frangi promet de faire résonner les souvenirs du défunt. Globalement, les prix vont de 350 à 2000 euros pour cette prestation.

● Simplifia est un système d'aide par téléphone pour faciliter l'organisation des funérailles et l'administratif .Le premier prix est de 1500 euros et la charte de Simplifia est signée par un réseau d'agences de pompes funèbres national .

● La mairie de Paris a sa plateforme d'organisation de funérailles: Révolution obsèques. Avec un prix unique de 789 euros, , on organise simplement des obsèques en ligne.

● Afterweb-Venture permet d'assister à des obsèques à distance.  200 euros variables pour permettre à tous les proches de suivre la cérémonie, retransmise en direct . 

● En Sa Mémoire entretient les sépultures entre 29 et 190 euros, une ou  plusieurs interventions annuelles. Fleuraison, nettoyage , photos,  les professionnels installés près des cimetières font tout .

● Elysiumspace envoit les cendres dans l'espace , en orbite, dans une capsule aux initiales du défunt, pour 2150 euros ou 8580 euros pour les cendres vers la Lune. Le premier mémorial lunaire est prévu pour 2019.

Que devient notre vie numérique après notre décès?

● Aussi saugrenu que cela puisse paraître, une application peut permettre à un défunt de continuer à être «actif» sur les réseaux. L'application DeadSocial permet de se créer un calendrier de publications sur Facebook, Twitter ou encore Instagram, qui seront donc envoyées même après la disparition de l'utilisateur. Ainsi, il est possible de rédiger des messages d'adieu post-mortem pour ses proches.

● À plus grande échelle, Facebook, qui compte environ 4% de comptes inactifs en raison de décès, a mis en place il y a plus de trois ans un système qui permet de définir «l'héritier» de son compte. Celui-ci pourra en prendre le contrôle, sans pour autant publier ou accéder aux messages privés.

● En revanche, si une personne désire ne plus apparaître sur le net une fois décédée, AdVitam peut également supprimer tous ses comptes. Sur les réseaux sociaux ou sur Google, toutes les traces seront effacées, pour aider la famille dans son deuil. Ce service est inclus gratuitement dans les offres funéraires que propose l'entreprise.