Martin Scorsese a fasciné au Festival de Rome. Le genie du Cinèma a reçu un prix pour l'ensemble de sa carrière e a donné une extraordinaire leçon de cinèma. C'est le réalisateur italien Paolo Taviani, qui lui a remis le trophée : «Tu es un saint, tu es un démon, tu es un infatigable travailleur, amoureux du cinéma, puis se tournant vers le public, de conclure : je reconnais à Martin Scorsese cette qualité remarquable d'avoir une confiance illimitée en lui même “.
Le realisateur americain nous a remené en voyage à travers le cinèma italien qui lui à donné inspiration dans sa carrière e a présenté les neuf films italiens qu'il préfère lors d'une rencontre d'une heure avec le public. Umberto D.” de Vittorio De Sica del 1952, La prise du pouvoir par Louis XIV » de R. Rossellini L'éclipse » d’Antonioni , Le Guépard » de L. Visconti, la nuit de Cabiria de Federico Fellini en passant par l’ Accattone de Pier Paolo Pasolini “ Le premiére film avec de personnes avec les quelles je me pouvais identifier . “ M’a surprise la santité de ce film. J’ai appris beaoucoup de Pasolini ,aussi dans la choix de la musique” Le realisateur sortira dans salles 20l19 avec “The Irishman”, inspiré du Livre de Charles Brandt, L’Irlandais.
La Festa de Roma a récompensé, à l’Auditorium Parco della Musica, une autre personalité du Cinéma, l’actrice française Isabelle Huppert qui a reçu elle aussi un prix pour l'ensemble de sa carrière des mains de l'acteur italien Toni Servillo ("La Grande Bellezza"). Charmante e très elegante avec un inconfondible charme parisien, a capturé ltous es regards sur le tapis rouge.en robe Armani. C'est une récompense qui me touche particulièrement parce c'est un prix de théâtre et parce qu'il reconnaît les aventures extraordinaires que j'ai pu vivre avec des metteurs en scène comme Bob Wilson, Claude Régy ou Eric Lacascade", explique la comédienne à la filmographie et au palmarès impressionnants.
Parmi les grands réalisateurs présents, l'Américain Barry Jenkins, qui a présenté à Rome "Moonlight" (oscar du meilleur film en 2016), avec son nouvel opus "If Beale Street Could Talk", qui évoque le racisme et la discrimination dans l'Amérique des années 1970.
Laura Damiola
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