Jusqu’au 2 Janvier 2017 au cinéma 30 rue St André des Arts 75006 Paris ,le film “Choeurs en Exil”

"CHOEURS EN EXIL"

Lundi 21 novembre 2016 au Centre Wallonie-Bruxelles

46 rue Quincampoix, Paris 4e (M° Rambuteau)

 

projection suivie d'une rencontre avec les réalisateurs, en réservant gratuitement vos places auprès du Centre Wallonie-Bruxelles.
Vous pouvez appeler le 01 53 01 96 96 ou écrire à l'adresse
reservation@cwb.fr
Veuillez vous assurer que vous ayez bien reçu l'invitation suite à votre réservation.

D'autre part, la projection du film au Cinéma Saint André des Arts continue .
Toutes les séances à 13 h. jusqu'au 13 decembre
30, rue Saint-André des Arts, Paris 6e
lundi 21 novembre
du mercredi 23 au lundi 28 novembre
les mardi 6 et 13 décembre et  puis PROLONGATION : les horaires changent :

Les séances, toutes à 11h30 du matin, sont les jours suivants :

lundi 19 décembre
samedi 24 décembre
lundi 26 décembre
samedi 31 décembre
lundi 2 janvier 2017

30, rue Saint-André des Arts, Paris 6e

JAF & PriMed présentent : mardi 22 novembre 2016 projection du documentaire 

 

Le mardi, 22 novembre à 20h à la Villa Méditerranée de Marseille

en présence des réalisateurs Nathalie ROSSETTI et Turi FINOCCHIARO (Belgique, Italie)

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles

 

 

 

"avec le chant on est face à soi-même, on ne peut pas mentir…"

 

Pour transmettre une tradition de chant ancestral, Aram et Virginia, un couple d’Arméniens de la diaspora, emmènent une troupe d’acteurs européens de l’Institut Grotowski de Wroclaw dans un voyage initiatique sur les lieux où autrefois cet art prospérait. Chemin faisant, leur questionnement fait réémerger la richesse d’une culture anéantie : le chant et le théâtre deviennent alors langue de création et de partage, souffle de vie. Ce documentaire est organisé comme un voyage initiatique avant même l’arrivée en Anatolie. Nous avons donc une vision de ce peuple éclaté autours du monde, un peuple déraciné que l’on retrouve seulement dans des terres d’accueil comme à Paris où à Istanbul. Ainsi, nous voyons de magnifiques paysages, mais aussi des lieux de cultes arméniens totalement ravagés par le génocide, des églises autrefois somptueuses et gigantesques à présent en ruine.
Ce film a une très grande dimension humaine, les personnages sont très attachants car passionnés par leur culture et par le chant ancestral. Aussi, tous, par cette musique, sont liés à la fois entre eux alors qu’ils sont de tout âges et à leur passé et leurs origines, à leurs ancêtres disparus aussi.
 On ressort de la salle pleinement concerné et plus riches d’un nouveau regard sur le monde et les Hommes qui nous entourent.