Le président russe Vladimir Poutine s'est posé en partenaire incontournable des Occidentaux , malgré les sanctions qu’ils lui imposent, devant les investisseurs étrangers réunis à Saint-Pétersbourg en Russie .
Avec pour invités le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le Premier ministre italien Matteo Renzi et le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, le Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF), le «Davos russe», constitue cette année pour la Russie un moyen de s’afficher moins isolée au moment où la récession qui la frappait touche à sa fin.
«D’année en année, le Forum devient de plus en plus influent», s’est réjoui Vladimir Poutine, pour une «action concertée» entre les principaux acteurs de l’économie mondiale.
Peu avant l’ouverture du Forum, l’ancien président français Nicolas Sarkozy, lors d'un diner informel avec M. Poutine mercredi soir, a appelé la Russie à faire le premier pas pour sortir de l’engrenage des sanctions que se sont décrétées Moscou et Bruxelles.
Par ailleurs ,la Russie devrait être associée au bouclier antimissile, le temps de la "guerre froide" étant révolu, a rappelé l'ex-président français Nicolas Sarkozy.
Les patrons de plusieurs groupes de premier plan sont là, comme les français Total, Société Générale, JCDecaux et Schneider Electric.
Avant de recevoir M. Juncker, M. Poutine doit signer un important contrat pour la construction d’une usine de liquéfaction du gaz en Russie avec le directeur général de la compagnie énergétique anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell, Ben van Beurden.
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