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La Fondation Calouste Gulbenkian/ Délégation de France présente : European Photo Exhibition Award 03 (epea03) du 20 Mai au 28 Août 2016

La Fondation Calouste Gulbenkian 39 bd de la Tour Maubourg 75007 , www.gulbenkian-paris.org , t° :0153859393sans-titre (13) , délégation de France , présente :

du 20 mai au 28 août 2016 :

Photographies de Arianna Arcara (Italie),Pierfrancesco Celada (Italie), Marthe Aune Eriksen (Norve), Jakob Ganslmeier (Allemagne), Margarida Gouveia (Portugal), Marie Hald (Danemark), Dominic Hawgood (Royaume-Uni), Robin Hinsch (Allemagne), Eivind H. Natvig (Norvège), Ildikó Péter (Hongrie), Marie Sommer (France) et Christina Werner (Autriche)

Commissaires : Rune Eraker, Sérgio Mah, Enrico Stefanelli, Ingo Taubhorn

L'exposition epea03 – European Photo Exhibition Award 03 présente les travaux de douze jeunes photographes européens invités, dans le cadre de cette troisième édition de l'epea, à travailler autour du thème Shifting boundaries. Landscapes of Ideals and Realities in Europe.

Les expériences et spéculations sur le paysage,  la nature et l'écologie sont les thèmes proposés aux artistes de l'epea03  : changement, reformulation, ajustement, tension, rupture…  et le rôle actif que les pratiques de l'image jouent dans la perception et l'analyse.

epea (European Photo Exhibition Award) est un projet coorganisé par quatre fondations européennes, la Fondazione Banca del Monte di Lucca (Italie), la Fondation Calouste Gulbenkian (France), l'Institusjonen Fritt Ord (Norvège) et la Körber-Stiftung (Allemagne) ayant pour but de mettre en valeur la jeune génération de photographes en Europe et de créer un dialogue intraeuropéen autour de thèmes d'actualité. Les photographies seront montrées entre 2016 et 2017 dans plusieurs lieux d'exposition parmi les plus réputés à Paris, Lucca, Hamburg et Oslo.
 

Calouste Gulbenkian nait en 1869 à Scutari (Uskudar) dans l'Empire ottoman dans une famille de négociants et petits banquiers arméniens, descendants de la famille royale du Vaspourakan, les Rechtouni[4].

En 1920, il négocie judicieusement une part de cinq pour cent des champs de pétrole qui viennent d'être découverts en Iraq et en tire un revenu de plusieurs millions de dollars, qu'il passe le reste de ses jours à sauvegarder[5]. »

Il constitue une des premières collections d'art mondiales, qui se trouve dans le Musée Calouste Gulbenkian. Il négocie avec le gouvernement soviétique à court de devises, entre — alors que les agents du collectionneur et ancien secrétaire d'État au Trésor américain Andrew Mellon ont déjà approché les responsables de la vente de certains éléments des collections du Palais de l'Ermitage — et , des œuvres d'art d'une rare beauté et d'une grande valeur.

De 1948 à 1954, il entretint une correspondance avec le poète et ancien diplomate français Saint-John Perse (Alexis Leger), riche de renseignements sur l'une et l'autre personnalité ainsi que sur l'état du monde[6].

Calouste Gulbenkian meurt à Lisbonne en , et il est enterré à Kensington à Londres, dans l'église arménienne de Saint Sarkis (Serge), qu'il avait financée. Son fils Nubar Sarkis est enterré à Châteauneuf-Grasse