Mais Açik Radyo n’a pas dit son dernier mot. «
Nous avons contesté la décision d’annulation de licence auprès du tribunal.
Cela devrait arriver rapidement. Ensuite, nous avons toujours la possibilité de relancer les émissions sur Internet », relativise Ilksen Mavituna.
Parallèlement à la procédure administrative de fermeture de l’antenne, le procès au pénal portant sur l’usage du terme « génocide » se poursuivra sans doute plusieurs années, mais l’équipe de la radio est décidée à maintenir sa ligne de défense et à plaider la liberté d’expression.
source : JP D.
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